( 393 ) .
, «
Ma is puisque
nbus
préss~ntons
.ce
résultat·
.de
notre
position , ne v~udroit-il \ pas m ieu'x
réspecter
scrupul€11sem·ent la
sage
politique
-de -nos commeft ans_, et faire servir
dans
cette
:c;irconstance
notre
propre
re-sponsabilité' com- --..
me _rriédiatrice entre _l'infl,e~ibilité ave,c faquelle
la
n ation doit
se maintenir dans la
positi911
qu'eU~ a . pri$e
relativement
/a
l'impot,
et
la
. . ' n e'cessité
de pourvoir
ades
~esoi_ris .
qu'il seroit
~rop danger~ux . de négliger?
·
·
· _ (i
Songez,-messieur ,
~
l'état"actuel
eles
esprio.–
lJne
défiance exc·essiv E;
€t
sourde -
a
toús
les·
ra·isonnemens',
est
to.ujours
prete
a
dicter
les
r ésolutionsles r,lus
étranges:
faut-il nous expo–
se;r
a_
lui donner contre nous l'ombre:__d\m pré'"'
:text@
?
ceu~
qu_i. nous ont menacés de París ,
d
d
-
td,.
f,
'l'
nou~ eman ant
~otppte
avo1r
re
use
em-
p'runt, '
croient-ils ··
que
les provinces aient .
-~enoncé au droit de nous
dire:
pour~uoi l'avet_-,'
vous .accordé?
Pour 'moi,
je frém:is de ce danger~ ·
et
ne
peñ~ant
p'as
qu'il
ptiisse
jamáis nous
con–
venir
de
résister
a
une défiance
me~-e
injuste ;
1
j
~
erois que notw devons -~ous· résoudre
a
tous
,.les ·sa crifices per·so.nnels
qui seront
en
notre
· JJOl!VOÍr,
plutot
qÚe
de
nou_s
écarter de la
léttre
<le nos ·
manqats
sur l'obj et
des
subsides. -.
"
1
~
n' hésite .~onc pas
a
.;ous
proposer
que
'
!
d
, ·11·
11
'
i
emp: unt
~
trente
11}1
1ons
actu
7
em~nt ne-