( _3s·6· )
·«Iévouef.'1;:ent
toute
la
force , dont iI
péut
av(';Ílr
~
.
'
.
!ies.oin powli résister n9n
a
ses gduts-
~
puisque·
-nul mona-rqtw ··
ne fut
:plus:
disposé
a
la simpli–
cite
qtJi
appartieñt
a
la -vraie
grandeur ,,. mais:
éH!lX
a1:risans de
ce
faste déprédateur
q11ti
multi–
piie autou~ du trone tant
d'etres
inutiles. /
'"' Vous n'hésitere-z done pa~, MM. ,.
_a
pYen–
dr.e lé n0bh~- parti que
je,
vous pr9pose;. et si
vo--u-s'
éprouvez
a
~et égard· quelque
doute,
it
~
d d I,
.
el ' '"
' '
'
v1en ra
e
a cramte e n
etre
g-enereux
<ql!t
en
app~telílce : tant
il
y
a· lieu de
úoire
qtt€
la.
'
natioa se- hatera de vous :trelever de
vos
en–
gagemens
!
N'importe_, messi eurs, vous áurez.
toujours aux
ye,ux
d~
cette nation
généreuse';
· a.tllx
yeux ·de
rEurop-e
attentive,
un
grand.mé-·
'yite,. celui de la fidélité la plus exacte
aux
manda
u.
dont ., vous etes les¡ dépositaires , .
et
dan-S.
Yil p0int Sllf
lequel
la
nation
fait
f€po–
s·e-r lacertitude
de la restau~ation de
l~Empire
>}.
Cette
proposition
fut
re9ue-
av.ecbeaucoup·
dt–
faveur; elle parut
réuni-r
·toutes ' les
opinions
de
l:ass.em.blée
,
et
suspendit·,
un moment
les
débats.
Mais
ils,
ricommenéúent
bi.e.-ntÓf
~
et
tei
en
fi~!
le.
rlsulta:t·, que
_l'
empru.ntfút
canse.mi:,. et qp,.'on
ren–
~-OY,g"
ar~
lend~main
la
dis-cus.sion sur
la·
fon.nt:.
ians. laque/le
il
serait: ou:v·ert,.
)
Fin
e
du tome
premier ..
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