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'. couri.ons le risque de les aggr~yer ·, si une. rigi~·
cEt é de principes que :r;i en ne t;_:mpéroit, nous.
' laiss;it indiffére ns .pour des be~oi~s ou des
( J.. \ •
igards do~t il est impossibl~ de se di~'simuler
l'irnportance,
<<Nhis n' est..,il a11cü'n -:moyen de conserver c~tte :
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\ 1' t
pgict1t~ , el e repon re cepenclant ~1 a .tente
<).u ministeI~ ? SÍ C~ moyen exi; te '. ,le patrÍó-:-
-tism~ , la saine politique, et; s'i'I faut parler
cla'irement,. les ménagemens infiilis avec les-:i
quels 11011s el evo'ns us~r de 1a coq:fiance de i:io~
~ommettans ,· ne nou~ font-ils pas la loi df
pous serv.:ir' -de ~e moy~n ? . ' .
>~ A y'ant de vous le proposer 'i qu'il rp.e soi·~
permis , _messieu-i,rs , d'exprimer une r,éfü;xion
que m'arrach~ l~ s~ntim~p.t d~ la _g:rancle1_q· de1
nos devoirs
'! . '
, )> Eli e ~e peut p,lus exister clans f ordre -nou.,
v.eau q~ri, va régir Pempire", cette p:rom?te obéis~
~anee q~1~ notre( serisihilité savoit tr2~sformer,
~n, 1:Qm ' :gnag_e d"amour pour la personne dtr
rnonarque q1ie 1!om représentoient ses ministre,s~
;J
, t uqm cl'eux ne ~,oit désorinais ·ríen attendre
~ue d~~ volontés libre;é de la nJ.,t~on ; et {1 ; '·
réfléc~i peut ~eul· ~mprimer ce
~a12actere t En nous teqant en garde contr:~ les
téso}utions prÚipitées ., ~O~lS é1 oigne.runS d~ ,
t~~pri~ ?-~§ ,r1i{1_~HfH t9i_1t1
~ , - t~Bta~iye ~J.i;
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