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1'
[ 4f1
1
'Celui
du
grand conseil
,
celui
du
pariement
de
Paris
,,
celui de la cour des aides
,
celui ." de
la
1 '
clzambre des fimmces
,.
s1
étoient présentés successi..,
1,1ement
et
a
jours
différe~s.
.
~l
y
eut }
cette occasion quelques· débats
. sur le .cérémonial.-
M.
FréÚau
pensa que
1
puÍsq\te le grand mai...–
tre d_es
cérémoníes
(le fameux
M.-
~e B__rezé )
I
•
1
1
<
l'
bl
1
•
avo1t par
e a ,
,assem ee
assis et
cozivert
,
tm
président de c9u1: rnpérieure pouvoit
biea
prétenclre au meme honneut~
1
' M.
MIRASEAU ...
(~ 11
me semble
assei
simpl,e
1
que
l'assemblée·
ne se
soit pas
encore
1
óccupée
de
tégler
le
__ pouvo'ir :exécutif des · <;:érémonies ,- et que
les:
risibles·_
prétentions
1
dü . tti'arqui; de Br ezé,
fui
ayertt patu ,ans conséqüenc_e.. lvfais
elle
doit
1
se
rappeller·
qué
l€s cotps- font
régistre
de:
'· _· to,ut ,
qu'ils transforme'Fit tout~s l@s
préten–
t fons en droits ·
1
tous
les hasatds
en_.
usa
ge· ,
toütes-
les
formules
en
ptoprÍétés.
Elle
doit
·en~n
condure
de
ce
souv:enir qu'on
ne peut
etre
' trop circonspect ave e _les-' compagni e·s
qu~ la monstrüeuse
alliar1ce des
pouv oir s
judi-–
ciaires
et
politiques
ont rendu si formidabies
a
µos
'peres
et
a
nous-{Ilemes
>}.
/ Je~
).
/