( 4SI
5
~
flc!tte
pas qtte to1.;1s
les obst~cles sont sur•
montés,
qtte l'arist~cratie n'a.
plus
d'espéit ;
et-
le pouvoir
arbitraire
plus
de
ressoutces.
·Carthage
n'est
pas détntite , il rest~
tme
fottle –
d~
moyens de
croiser
nos opérations ;
de
sus-–
·citer
des
divisions
dans
une
assemblée
que le
,,
danger
a
réunie,
de
no1.1s1:endre
meme
le piég.e
-
I
d'unie .
con:;titu<tion
qui ,
ave e
des appai;ences
sp'éci-euses,
n'auroit
po¡nt de 5olidité de ~aire
,- naitie
dans
.f
état
des ·
troubles
funestes
qui
armeroient.
les campagnes --coñtre les
viHés,
les '
prov~nces
co.nt~e les
provinces ,
de
semer
la
défiance entre les peuples
et
ses
représentans
_pour
-anéánÜr
le
fruit de leurs
travaµx.
11 faut
t0ute
no,tre
vigil_a.qce;
toút
notre
zele , il faut
le sa-crifice de
tous
l~s
a,p1ours-propres
,-il
faut
lN:cmcóurs de
toutes
les
lumieres de la
n~tion
~
pou_r .
arriver au
noble.
but d'
u.neco.nstitutioll
politiqtie
->>.
SJance du
.24.
Les
COllf'S·,
alors soaveraines
,
'per;u.:rdles en.fin.
'
ll
..,
. .
- .
.
/
1
L'
.
L
'
gu e e e,:,oa'--vrawzent natt(!JZa.,e
,
ass_emb ce que
tous üs ejforts du n_1.inisúre n'avoient pu
in-ti–
miaer_,
avg'iel!,t sm ti
qu'
i.L
étoit
tem_s ,
de
1
lui
rap–
porter
Zeurs h..ornmages. Le
prremier
p rísid en} de
l ;i tour des momwies def1.zatzda et rcr¡ut au.dienc,.,_
\
,
___
I
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