'
ü'une
pluralité
simple ,
e'
es.t -
a..
dire
d'm:ie
moitié des voix ,
plus une•.
M. Fréteau
voulbit ·
1'a.journeme11t
de
ce.tte.
· '.discussion.
M.
Mrn.ABEAUó
{' Je n'ai
pis cessé
un
n,.oment
de croii-e que;
1
. 1 \
1
d
1·
- '
:que
que
so1t
e
reg1emen t
e
po,.ice
qu
on
ncus
propose , ,il, sera sus ceptible d
'i.in-:o'nvénié~s~
í ,
Eh
! .
quelfe
inst itution
humaine
1ú~n ·
a pas
t.
I
l . .
Mais
il
1~e
paro1~ en
génér?J
composé
avec
,,,ássez
d.€
s agessé .,.
et
pénét ré d'un
assez-
bon. '
esprit,
pom
que je desire
son
adoption
au·
moins
prqvisoire,
et
saiif
ies
_améliorations
'que
pourra ·nous
suggérer
í'e~p.eri~nce
ele
chaque
jour.
Toute .
loi
est par sa
nature–
révocable
a
la volonté de celui
qúi
l'a f~ite.;
Le
príncipe
contraire·-
sero~t l'apot41os€
des
préjugés ,
la proscription de la raison. Mais
les p-r~miers
.élémens
_d.~. l'ordre ·doivent
etre
admis
'le
plütót
possible,
lorsqi1'on
veut 't:i;a-,
vaiHer
a
1+n plan digne de gouv.erner
Ies
hom"'
bl \, '
'
hh
mes , et ·
capa
e d 9perer notre ,.,
v.one,ur~i
. :Hatons-nous
d'adopter
une
police
quekonque ~.
en
·attendant que l'habitúde des
agse!nblées
·JI,
le
dépouill,ement des
préjugés", _ et nos
p_ropre~
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