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'( 36T) )
'eet\t~
úne voix
~
elle sera
sans
force , ou ce
qui revient a.u mém.e, que le ,vreu de neuí
cents
qui veulent d\me
mani ere , se.r~
so
1.mis,
a
celui de
300
qui veul ent d
u,¡
e
autre.
Dans
ce
~ystéme, Messieurs ,
qu€!
devient la justice
?
~
'
que devient le v~u con1.nmn
?
Com.men~ alors
pourroit-on. dire que
1-·
loi est l'expression d~
la
yolonté <générale
?
Hors du
príncipe
clair
et fécond de la pluralité simpte,
je
ne voi~
qu'une r~novation sourde , ma,is tres -
effec~
tive
des ordres, du
veto
et de tous ces mou"\!
'
veme.nscontradi~toires qui d~sorgani~eµt 1~
société
>; ~
L'avis de M. Mirabe~u; n,e r-éunissoit
pas
·tous 1es
suff~ages.
'
1'4..
l'Evéque d~ Chartres
;á'menant
la
questio1'
'
•
_¿
~
l
''l
~
ses
vra1s
te1
mes ,
paruL
o.oute-i s 1 ne
co11~
viendroit
pa~ d
'app.oi-te:r p\us d~ soh;mn,ité pQu~
détiuire une
loi
ancienne, que
pour
en éta-i
blir une nouvellé ;
potJr-
faire un change"'\
went
a
u.ti~
loi
importante
~t
grave ' que pom;
pa~ser
irne
simple
-loi
cl;'-ordre , qui n'auroi~
ª~1cün,e connexio.n nécessaire avee 1'
ens,en
;i.bl~de
la
constiti~tion
~t
cl~
loix.
Dans le
prer_nier.
cas ;
il p
~nso.it.qu~
1~-
plurarité
simpl'e
pouvo_i~
- ~11fiire ;
dqt;is 1~
second .,, il
eJ:(i$~oit
ai1 ·
~oi~-~
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d~s
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