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J
ini'quités.
On
méprise le peuple et
l'on véut
qu'il soit touj~urs doux , tdujours impassibld
'
·
;.
·
''l
r
·
d
non;
é
est une mstruction qu
1
1aut t1rer
e
ces
tristes évenemens ;. l'injustice des autres
~lasses envers le peiwle lui fait trouver · la
justice
da.ns·
s-él
barbarie meme
>•.
>~
Nous ne craindrions- pas de· blesser .üt,ile...
ment
fa.
délÍe¡éJ,tesse
de
la
sensibilité
en
I
eJL,PC–
tant les circónstañc~s douloüreuses, les tour-
,:mens dont la .mort de ces tristes victimes a
été acco~pagnée. Mais
ces
cruautés sónt 1oin
'd'atteindre aux so1emnelles férocit és que des, ,
corps
~e
justice exeréent sur
des
malhenreux
· que les vices des gouvernemens ~onduisent
~u
crime. Félioitons-nous
que
le peuple n'aif'
,pas
appris·tous ces raffinem·ens de la 1?,arbarie, ·
ét
qu'il ait laissé'
~
des compagnies savan t.~s
l'honne~1r de ces abominables i.nventions .,,.
· »
Apres · ~es réflexio_!ls que nous av.ons cru
né.cessúres . dans
un
m0mel'lt
oü
l'humanité ·
meme
éga.rela réftexion', nous
nous hato
ns
d<t
dire que
toute
1'assemblée natiónale a bie.01
I
se11;i que la, contfot~ation de cette formidable
dictature expos.oit
la
lib.erté publique '
autant
que
les complots d~
ses, enne'mis.
'La sociétl
1
serozt
,bientót
dissc;ute
,
si la mülti tude ,
s'acou–
t umvant
au sang et au désordre ,, se mettoit au
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