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( 349

J

ini'quités.

On

méprise le peuple et

l'on véut

qu'il soit touj~urs doux , tdujours impassibld

'

·

;.

·

''l

r

·

d

non;

é

est une mstruction qu

1

1aut t1rer

e

ces

tristes évenemens ;. l'injustice des autres

~lasses envers le peiwle lui fait trouver · la

justice

da.ns

·

s-él

barbarie meme

>•.

>~

Nous ne craindrions- pas de· blesser .üt,ile...

ment

fa.

délÍe¡éJ,tesse

de

la

sensibilité

en

I

eJL,PC–

tant les circónstañc~s douloüreuses, les tour-

,:mens dont la .mort de ces tristes victimes a

été acco~pagnée. Mais

ces

cruautés sónt 1oin

'd'atteindre aux so1emnelles férocit és que des, ,

corps

~e

justice exeréent sur

des

malhenreux

· que les vices des gouvernemens ~onduisent

~u

crime. Félioitons-nous

que

le peuple n'aif'

,pas

appris·tous ces raffinem·ens de la 1?,arbarie, ·

ét

qu'il ait laissé'

~

des compagnies savan t.~s

l'honne~1r de ces abominables i.nventions .,,.

· »

Apres · ~es réflexio_!ls que nous av.ons cru

né.cessúres . dans

un

m0mel'lt

l'humanité ·

meme

éga.re

la réftexion', nous

nous hato

ns

d<t

dire que

toute

1'assemblée natiónale a bie.01

I

se11;i que la, contfot~ation de cette formidable

dictature expos.oit

la

lib.erté publique '

autant

que

les complots d~

ses, enne'mis.

'La sociétl

1

serozt

,bientót

dissc;ute

,

si la mülti tude ,

s'acou–

t umvant

au sang et au désordre ,, se mettoit au

/

I

)

I

l