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A D R E S
A U.
S
I R E, .
S
E
"e,
V
01,1S
a
vez
invité
l'aS$emblée
nationale
a
vous ttmoigner
Sél-
c;:onfiance;
•c'étoit aller
at1""·
devant d\l
plns
cher de
ses
v~ux.
)>
>)
Nous, venons éléposer dans le sein de
votre
Maj<:!sté
les
plu~ vives · ;;iUar1;11es;
si no1is
en
1
·
éJions ?obj
et,
si ·nous
avio
ns
la
foiblesse de
craindre
p9ur
nOus..-meme's ,
votre
bonté
dai...
gneroit ~ncore JJOllS rassurer
~
et méme ,
en
notfS
blam~nt d'ayoir douté de VOS ~ntentions,.
\
vous acciieilkriez nos. inguiétudes
;
vous en
dissip~riez .
la c::aw,e ; .,
vous
ne lais.seriei
point
d'in,certin.1de
S\1r
la ,position
de l'a$semb1ée
óati~l,lale. ·
>~
«
Mais,
Sire,
nous n'implorons
point
votré
protection.-,
ce
seroit offenser votre
justice ; '
nou,s·avons ·~-~n~u
des
craintes,
et,
p.o-u~
l'oson~
dire , ~lles,
tienn
ent au patrioti~me le plus pur
~
~
l"int~ret de no~ commettans,.
a
la
tranquillité
ru~liqi;ie,
au
bonheur
d1,,1,
monarque
c;:héti,
qui ;
en nOll$ ~pplanissant la route
d·e
fa
félicité ,.
:fl'l~rite,
hie~
d'y
march~:r
_hü.,,m.~m~
s.a,ns
oh~"!.
t~<;:l~;I
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