1
,t
30; ) '
te
soih
de
sa liberté , de sa propriété;
q:e
·so~
honneur. Non, de tels . hommes :, non, des
Frarn;ois ne feront jamais l'abandon tota~ d~
fours
fa:'cultés
intellectuelle·s ; ils ne croiron-t
1
jamais.
que le devoir
est
de
frapp.ersans
~'en~
quérir quetles sont le$ victi~nes.
. Ces soldats bientot u.nis et sépaféj p~u· · des
dénominations qui deviennent le . signal .
des
, partis; ces s·oldats ,
dont
le
-~étier
~st de
ma~
· nie-r les armes , ne savent dans toutes leurs
, rixes que recourir au seul instrurnent dont ils ·
connoissent la pu~ssance. De-la naissent des
combats d'homme
a
homme, bi ent9t de régi....
m,ent
a
{égim.ent' bientot des troupes natio-–
nale,s aux .'troupes
étrangeres; le soulevement
est dans
.tous
les
c'reurs ,
la ·sédition ~arche
tete
_l<rvée ;
on
est
cbligé'
par
foiblesse,
de
voiler
la
loi
mílitaire,
et
la
discipline
est énej·-_
_vée.
Le plus
affrel'l.x
désordre menace _ la soci_é-
.té;
tout
est
a
craindr'e de ces
légions
qui'
-apre_s
étre sói-ti.,t'? du
devoir,
ne voient plus l
1
eur
su~
r.eté q1.{e dans la terr-eur.. qu'ell ~s
inspirent.
Enfin,
ont-ils _prévu ,
les
conseillers
tle ces
mesur_es ,
ont-i_ls
r;révu
les
suites qu'elles·
en-.
A
·
1
t
't
A
1
A
~o
tramen!
pour
a
secunte meme
Q\l
trone . .
nt-
ils-
étudié dans l'h~stoire de tous les peuples
pomment Les révolutions
ont_commenc;ées,
com; ·
_Tome
l~·
Y
'1