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( 265 )

treint la gé.nérosité

de

son c0cur,

lorsqu'il

retient _les mouvemen.s de

justice natu.,,.

relle?

Si notre

roi étoit

plus

qu'un homrne,

·s'il pouvoit

tout

par

lui-níeme,

on ne redou...

teroit pas les effets de cette démarche, que

des conseillers

imp!udens

et p~rvers

lui ont

arrachée; il

sero1t

inutile de prérnunir

le

peuple contre les égaremens, on des intentions

criminelles et des sédtictions adroites pourroiep.t

le

précipiter.

>~

'

·

>>

Quand on

se

rappelle les désastres occa=

,

sionnés dans la

capitale

par une

cause in~-;4

niment

disproportionnée

a

ses

suites

cruelles,

tant dé scenes déplorables dans différentes

provinces,

011

le sang des -citoyens

a conlé

par le fer des soldats et le glaive des bour~

reaux, on sent la nécessité de prévenir de

nouv_eaux

a-cces

de frénésie et de ~engeance;

car les

agitations,

les tumultes,, les exces

ne

servent que les ennemis de la liberté.)~

,, Mais les

hommes

de mauvaise foi, qui

affectent

toujours

.de .confond!e la

liberté

avec les écarts de · la licence; les hommes

foibles, incessamment alarmés lorsqu~on leur

montre le plus précieux des

biens

précédé

de ces dangers et de ces convulsions popu–

lai:r~s ;

1~

ralliement des

partisans

du

pou~

J