( 262)
patriotes,
mais - qu'ils _
n@
les éhranleront
pasJ
A
la. h,ruteur
011
la
ra1son
a placé les repré–
sentans
de la nation ., ils
jugent
sainement
les
obj ets , et ne sont point trompés -p~r les ap–
parences, qu'au travers des préjugés et
_des
passions on app-ers:oit €omme
autant
de fan-
.tomesr
St
nos
rois ,
instruits
que la
défianc~
est
la premiere -sag@sse de
ceux
qui
portent
le
sceptr~,
ont
p·ermis
a
de -simples
cours
de júdicáture de leur pré~enter -d~s remon–
trances,
d'en
appeler
a
leur volonté
mieux:
/
1
~
/
.
.
1 /
,·
1
,
ec
a1r~re;
s1
nos
ro1s ., persuaaes qu
1
n appar-
. tenoit
qu'a
un despot€ imbécille de
sé
croire
infaillible·,
céderept
t ant de·
fois ·aux avis
de
leurs
par
lemens, '
CQmment
le prince
qui
a eu
le
noble courage ele con
voquer
l'assemblée
nationale, .
n't n
écouteroit-il
pas l es membres
avec
autant
de
faveur
que
d~s
cours
de judi–
cature, qui défendent
aussi souvent
leurs
in- .,
térets personnels que
ceux dü
peuple?_
En
éclairant
lf
religion du roi,
lorsque
des
c.on–seib violens . l'auront trompé, les députés du
peuplt.
assureront
leur
trio1-nphe ;
ils
'invo–
-queront '-':'lujours
la bonté du
monarque-; et
ce ne _
se_ra
_pa~ ~n
vain,
des qu'fl
a1ira
voulu
pren<lre sur
hn-nAme
de
ne
-.señer
cu'~
la •
droiture
de ses intt~tions,, et de
sor~ir
dl.~