~
271 ")
i1.n monarque
-abs:olu
et
séver:e , quand I'assem~
blée· nationale
n'auroit
voulu
voir
·que
le
-~hef .supreme , ~scorté s·eulement de ses v-er–
tus; dans
cette
meme
journée nous
avons
entendu de sa Tu-0uche· les d.éclarations
les]
plus
pu1'"es de ses grand-es vues, ele ses
inten–
ti'ons
vraiment génér-euses, vraiment .magna- ,
nimes,. Non , les formes les moins proprés
a
concilie11
les ceettrs ne nous
cléguiseron,t
p·oint
les seatimens de notre roi ; nous pourrion'5
gémir d'etre- mal connus de ce prince ;
mais
U<>US
n'aurons jamais
a
-llOUS
r eprocher
d'e:tre
injustes. Ma1h.eur
a
ceux qui nous peindroient
formidables
!
N0Hs
pourrion's
le devenir au
1
our de la
1·
u\1ke -; mais
ce
seroit n.our
.eiix
1
',:
,¡,
J.
seuls
~->.
~~:
\
" Et
com-me~!
~.es
sentimens
du roi pour–
-roient - ils causef -~'quelques afar rnes
?
Si
nous
connoissions moins ses vues, n'avons -
nou-s ·
pas la -garantie de ses -lu::ni.eres et de :Son
intéret
?
L'aristocratie
cessera -
t-
elle
ja:mais
d;-etre l'ennemie du treme
?
Toute
son ambi~
tion
n'est-ell.e pas de
fractionn<;r
i'autorité ?
Ne sont-ce pas ses prérogatives, ses pr'ivile–
ges , ses
usurpations
qu'elle cher che
a
cimen–
ter
par de mauvaises loix
?
Et n-,est - ce pa.s
~ne vérité
démontrée,
que -le pe~1pie ne v~ut