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t
1o/Q]
lut
de
cette
eon11ocation
,
si Jij[J~·ent
,de
c~lz4
qui
ras_sembloit
vo~ andtres
(
I ) ,
les . préten–
tion~
d@
la
noblesse ,. son attachement
a
des
loix gothiques et barbare,s , mais sur-
tout
les
formes
vrni1J-1ef1,t
e:xtraordinaires dont
ó,n
s'
est
~ervi ponr
faiY·€
interven~r le rni. , heaucoup
d'autres ~auses e:o6n
ont
échautf{ le_s
esprits ;
et l'état ' ~ -
fermehtatiolil
o.i1
se
trouve '
le
royaum~ est.tel, nous osons le, dire-, ~que ceux
qui veulent user de violence, lorsque
les
pltts
gra~ds
mén.ag~ens,
sont tous les jours plus
nécessaires, ne se tenden1i pas
seulement
h1.di–gnes
4'
étrc regardés ~omme Franfüis
(
2)
, _
inais
tl.'etre envisagés comm.e
des
incendiaires
>,.
«
D'apres
ces
considérations , .Messieurs ,
nous croyotílS
devoir
vous
prés-enter le t~bleau
de notre vraie positio.n , pour vous p.rémunir
contre toutes les ex.agérations et les- craintes
qu'un zele trompé , ou que des intentions
coupahJ.espourroient a.ffecter '1e faire pré-
valoir
~>.
.
~, Dans cette /
~eme
j0urnée,
011
un
,,appareil ·
pluto.t
mena<;ant
qu'imposant,
vous
montroit
(1 )
Dlscours
du
roi.
( 1 \
Dis~our~ du r~>
\