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Déji
nóüs pouvons nous honorer 'de
p!tt~
sieurs conqu'etes heureuses et paisiblés.
11
n'est
'
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•
•
i
pas
un
JOur ·qm
n.e
nous a1t amene
quelqu.es--
1111s
c;lé ·
ceux
qui
d'abo:,;d
s'étoient éloignés
de
nous.
Il
n'est
pas 'un jo\tr
oi1
1'-horison de
la
vérité ne s'agra~diss.e , et ou l'aurore de
la
raíson ne se leve pour quelques individus·
qui,
jusqu'a présent avoient
été
éblouis plu~
tot
cqu'éclairés par l'éclat meme íde la lumiere ..· /
Que seroit •
ce si,
désespérant de
la
puissance
de
'la
vérité ; ·no1~s ~ous éti0ns ~éparés
de
~eiix que rious· invitions inutil€ment
?
Noús .
aurio11s gla
1
cé nos amis
m'.eme
dans les deme
premiers ordrés de _ nos concitoyens ; nous
1
~ous·serions privés peut-etre de cette rém{ion
si
avantageuse
~
la France; au lieu qtte notre
mGdération a~tuelte leur ayant paru
un
gage
de notre modération future , ils orrt conclu
que la
justice dirigeoit nos démarches ;
et
~'est · en leür nom comme au notre que nous
vous rec.ommandons cette douce modératió~
t
ddnt
no_us avons
déja
recueilli les fruit$
».
(~ Qu'il sera ·glorieu,x pour la Frartce-, pour
nous , que cette grande révolution ne cof1te ,.
a
l'humanité ni des forfaits ni , des !armes
!
Les
plus
pet-its états
n'~nt souvent
acheté.
~ne ·
ombre de
liberté
_qu'au
pn.x du
sani
1~ _
1
(