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/.

·( '-º> )

b;p"érance.s ;

et

renversat. les cakuls de

·cetrx

·qui ne voulo.ient pas c.onférer, pour discuter,

'ni

discut@r pour s'entendre, mais

sutiem.mt

se

·rapprocher pour envahir.

.

Voici qüelle

fut

l'opinion d·e M.

DE

MIRA~

)3EAU.

·»

Acceptons-nous les conférence-s? Tout ceci

linira par un arret du conseil ; nous serons

chambrés et despotisés par- le fait, d'autant

'pfos

infailliblemen:t que tous les_

a

1

r,istocrates

tendent

a

l'opinion par ordre' pare~ que la

ils ont leur place , tandis que dans le mode

d'opiner par tete , -ils

,ne

sont pas toujour.s

les premiers, -et ~ou~vent ils sont les derniers·

»..·

~;

Si

nous n'acceptons pas , ceux qui ont

tan_t dit, lors-qu'il s'agissoit d_e s'opposer

a

la

. proportion p<?pulair~ , que les communes igno~

¡-antes ' sans I'habitude des affaires , fas:onnées

,a

·un long esclavage, .enchaineroient la nation

ati ,pied_du trone, et qui disent aujourd'hui

~

pour tuer l'o.pinion p~r tete , que les commu–

n~s tumultueuses, indisciplinées; avides d'in–

<lépendance, sans systeme, sans principes ,

- détruiront l'autorité royale ; ces gens de

bonne

foi

professeront avec plus de ferveur

que jamais cette absurdité profonde , ·que la

fCOnstitution va - périr sous l'influen'ce de

la

.,