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J
aémocratie. Le trone sera assiégé de dénonJ
ciations , de Cálomnies , de prédictíons sínis–
tres. M. Bouthilier (
1)
répétera que nous éln-
•
1
dons le cómbat. L'appel
au
peuple de
M.
d'En~
traigues rétentira plus que
jama.is>j.
~, F?,ÍsórtS róute entre c~s deux Jcueíls
H~
,, Rendons-nous
a
l'invitation du roi.
Eh
!
·~omment pourroít-on s'-y refuser quand on
a
jugé
a
propos de déférer
a
celie dn clergé
?'.
Mais faisorts précéder ·les ccnfére0.ces d'une
démarche plu~ éclatante qui déjoue !'intrigue
et
démasque la ealomnie. Vers quel
but
ten..:
dent les éfforts des ordres ptivilégié$?
a
ins~'
pirer de la méñance
a11 roí
sur nos intentions
et nos projets , patee qu' ils senfent bien que·
la
¡ouís-sance d'un roí
un,i
a
son peuple ,
a
1111e
ínfluen~e ínésisti~le contte les préjugés
tyranniques , les prétentiorts oppressíves,
les
résistances de l'intéret privé. Nous somme.s
bien forts, si toute leur ressource est de rioug
/
1
caiomnier. Nous s·oinrnes bien forts , sí pour
faire
triornpher la bon.n·e cause ,
it
ne nous
faut
que marchet unis ave<; le roí , 'et ajoutar.
(
1
)
L'un des commissaires. conci~íateurs de
fa_
nobJesse.
(