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104)
le roi
témof
gnoit
le
desir
que les
conférenc~
des
trois
ordre"s fus.s~nt reprises en
présence
(!u
garde-des-sceaux
et
_des commissaires nom...
més par sa majesté;
et le c(ergé
, .
décidé
a
s.econder le vreu du roi, avoit sursis
a
toute
délibération sur celui que lui a:voient
porté
les.
communes.
Une
letir~
du
roi, adressée
au do
yen
des
comnwnes; fut
lue
aussitot apres
que
la dépu~
tation dn
clergé
se
fut retirée.
~~
le:
desire
" (
disoit le roi)
que les com.–
nússaires. conciliateurs déja choisis par les tr,ois
qrJres
'
reprennent leurs confdrc.nces demain a .six:
lzeures
dzt
soir
;
et pour cette vccasion ~· en pré-:
sen,e
de
mon garde·
-
des
-
sceaux et des commis–
sail.--es·
que j-e reunitai
a
{ui' a.fin d''étre informl
partic.ulierement des ouvertures · de conciliatio.n.
q;ui suont fai--tes· ,
et
de· pouvoir
c.on~ribuer di-:
r~ctement a une harmonie si desirabh et si ins-:
tante
,
etc.
La discussion
a
laquelle cette ._lettre
donna
lieu, fot
longue .et
anitnée.
Tous vouloient sans doute accepter les
1/
I
conférences : mais quelques-uns
y
VOtJloient
des modifications ; quelques autres
vouloient
(lllelles
fussent
iJrécédées
d'un
acte
authenti–
que bien prononcé , qui détruis1t enfin les