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ponse est tres-iímple :
nous veulons
vlrifier les
~
pouv~irs
EN COMMUN.
Je ne vois pas, mcssieurs;
pourquoi le noble exemple de l'obstinatiqn,
étayé_de
la
déraison
et
de l'injustice ,
ne
seroit
.point
a
l'usage
de
la fermetér qui plaide pour
fa
raifon et la j_ustice
>,.
H
Le clergé pers~vere dans
le
role de conci..;
1iateur
qu'il a
cho.isi, et qüe nous lui avons
confirmé. Adressons nous
a
luí,
mais d'une
maniere qui ne l~isse
J?ªS_
le plus lé-ger prétexte
'
'
-
.
.
.
a
une evas10n
>;.
.
.»
Et
pour
y
parvenir, j'ai l'honneurde vous
d.ema~
1d.erd'abord de fi.xer un terme, et
un
-termé tres-~ourt ;
a
lá no~1velle co~fé~en_ce que
l'Qn v·ous propose d'ordonnef
a
vos commis-
,
.
·saires
H.
>;
Je vous damande ens:uite de décreter une
<léputation vers le _clergé, députation
tr.es-so-–
lemnelle et _ tres-nombreuse , qui , résumant
tout
ce que
nos adversaires ont si subtilement
allégué , tout ~e que 1;0s commissai'res ·con_ci-
1iateurs ont si bien
dit,
abjurera les ministres
d'un
Diei.1 de
paix·,
de se ranger du c-oté de
la
r-a~son , de la justice , de la vérité, et de se
I
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, retmir a µous pour tenter un nouvel effort
aupres de la noblesse. Si le~ espéran,ce~ que
nous avons con<;ues d'une grande partie
µü
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