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196 )

1

,~os

tres-dignes

commissaires on~mis

sous

vos

y eux,'

que la propo~ition qu'on leur a faite

est {mtierement ·inac<teptable, et

ne

peut

con-

.o.uire

a

aucune e$pece de ,déaouement raison–

n ablé_, elle choque tous les príncipes, elle

excede

nos pouvoirs.

~>

La vérification par co.mmissaires choquet

les principes;. il

est,

eril -sera

a

jamais impos-:

sible

de

suppléer dan.s cette vérification

a

la

sanction

des

états-g<fnéralix réunis,

sur-to~t

.aÍ1ssi

long-tems que l'assemblée nationale

sera ·

composée de ce qu'on appelle trois ord.res~

U

ne

l'esf

pas moins, que des contractions·

qui intéress

1

ent les

ordresiespectifs-, ne soient

pas

d.ébatÚ1es

par les trois

ordres,

en présence

les

Íms

des

autres.

11 _l'ést

encore da.J~ntage .

·qu'un

ord-re

en

partí_cuHer,

devienne·

le .

juge

des

qu-estioñs_

qui

intéresse.nt

les

deiix autrns;

-chaque ordte n'est que

partie.

Les

états-géné-

-r aux réunis sont seuls juges, et indépendam..

m €nt de ce

que l'in tégrité, la pureté, la lé~

galité

de

l'assemblée

m1tion~le

est le premier

clevoir'

le

pr emier

intérét' et

l'objet

de

la

continuelle surv€illance de tous les membres

qui la comp.osent; admettre une vérification

1

'

'

11

'

iies po~woirs, separee ou

,part1e

'e , e est von~