( 198 )
H
Je ne parler~i point de
la
proposition d'urt
'des commissaires du clergé ; elle est proba-.
blement celle d'uh ami dda paix, mais outre;
_qu'en r econnoissant qu'il
y
a dans la vérifi~
~cation des pouvoirs, prnces et nécessité
a
un:
jugement , elle nous renvoie
a
la sévérité
du
principe sur le choix des juges, outre qu'eHe
ne sauroit jamais échdpper
a
cette observation
simple, que s'il est pos~ible,
s'il
est nécessaire,;
s'il est inévitable de se réunir pour la solution
de
certaines difficultés , il n'existe point une
r aispi;i de ne pas se réunir pour la solution de
toutes les difficult~s.
La
proposition d'.un seul
homme
ne peut point en pareil cas etr.e matiere
~
délibération, et nQus sayons que
la
noblesse
a
déja
rer
ons.séles expédiens
>>.
S;:1 ns ~oute?
messieur s ,
le
systeme des or--
<l
.
'1 ' . ,
'
'
L'
'
re~ pnv1 eg1es est tres-consequent.
un s est
déclaré
léga lement constitué. ·
11
s'est lui seul
invest í de
tous
les pouvoirs
qu'il
a '
trouvé
a
s.a c~nve.nance , il a fait q.es.act e.s de véritable
s ouveraineté, et l'un de ses membres, to11t en ·
parlant des prin cipes consti tutifs de la monar–
chie, ri<l icti_le ~ri
de
ral li.ement
de
tous ceux
q·iii youdroient
b i en
que
fa
monar.chie ne
fúi
1.a.ma1s _con~ún:ie. , n'a
p i!$
craint d'-appelkr