(
1
n
1
r.ables exemptions pécuniaire~ ,
1a
vérit~b1e
. constitution
proyenc;ale ; et leur
condtüte
n@us
a suffisamment
mo1rtré
que e'est aux états-ge.- ·
néraux qu'il
faut
les
traduire.
Le roi nous dit
encore
qu'il n'a
pu cette p r,e–
miere fois
~
concilier
toftS
les
YO?,UX, n i
atteindre
po"ur chaque düail
a
·ta perfection la plus com–
plete.
11
nous
,expose ainsi
les
sollicitudes
de
sa
boqté ,
lés
doutes
memes.
de sa justice.
C'est par la
priere
et non par des o rdres abso lus
qu'il
appelle sa
nation
a
s,.e
régénérer.
Enfin,
il
décl are
de la rn" niere 1a pbs so–
lemnelle, en ordonnant la députation par
bail–
liages,
qu'il use
du droit de
législateur
prov1-
'soire <le
la
nation.
Et cer tes
ce
dro~t ,
c.on–testé
p3:r
une
portion ·des deux ·ordres
privi–
légiés, doit nous etre bier,i précieux, puisque
)
nous
lui devons l'égalité de représenü tion
accordée áu
troisieme ordxe;
e~·
que sans cette
'
1·
' 1
/\
¡
1
,
,.
ega 1te, a tenue
meme
aes
ctats
generaux
ne
seroit
qu'un objet d'effrói ponr tous les
bons.
citoy e,ns· ,
loia
d'etr~
1~
bnt
commun.
de leur-.
espérances .
Le roi
déclare done qu'il
í•éserve aux
état $
dt; la p rov-i~ze-e
~t
mtx
trois ordres
en génefral
le3
4roits
qu'il~
pourroient avoir
d
une
nouvelle
f on1zt;.
de , onyo¡;_.<iú on,
t;t
d'électto.n
awc
as~e,mblée_s d'ita~
I
3.