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frGENE
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j
ALZU\E
1,
_E,MIR-E, .C~PHA-NE•.
OÉPHANE. ·_
iMADAME,
un des <taptifs' qui'da1{~_cette journée ,
N'ont dt1 Ieur liberté qu;a ce grand hyménée,i: .
~
Avos pieds en se_cí·et demande ;a se jeter. ,
ALZIRE ,
Ah! qu'avec assurauce il peut se prése~tGr
!
Sur lui, sur ses amis, mon ~me ·est atten.drie : ·
Ils sont chers a:m~Is yeu:x, j'aime en eux la patrie.
iMais quoi ! faut-il qu'un se_ul demande a me parler?
CÉPHA:NE:,.
Il
a quefques secrets qu'il veut vous révéler..
~'est ce méme guerrier doüt la main tutéla.ire
De Gusman voire épdux sauva, dit-on, le pere.
,
' .
.
iM.IRE.
)
Ji
vous c'herchait, madame, et Monte-ze,e~ c~s lieux
Par des ordres secrets le cachait a
;v.osyeux.
Úans url sombre chagrin son ~me enveloppée_
Semblait d'un grand desseinprofondé
1
ment fráppée.
~ÉP,HANE~
.
On lis~i-t
sur
SQii
frontfo troubíe
~t
Íes dou.leurs. '
n
vous nommait' madame' et répandait de's ple~rs;
Et l'on connait assez'
Pª!
ses ·plaintes Secretes'
.
Qu'il
ignore et le r'ang et l'éel-~t g·i.i'vouf_~te_s..
ALZ.IR'. E,
~
Quel éclat, che~e Emive
f
et
ép1~l-ind,i'.gne
rarig)
Ce
hÚos rrialheu,reú'i -p~ut~-étr~
és.t
de mo,n sang;
D,/ ma .fa~ill~ au n1~ins .il'a·vu Iá °rmis-sa~ce; .
Petit-etre de Zamor,e il avait eonna.Íssa,nce.
Théitre: •
3'.
,
.
4