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,380

-LE FANATISME.

C'e

1

st le premier des bi.ens po1:1r mon aníe attendrie;

.Mais s'il fa1,1t

a

ton culte assenir rna ratrie,

·ou

de Il,la propre rnain les immoler tous detix,

Connais-moi, Mahomet, mon ~hoix_n'~s~ pas doutcux_..

Adieu.

MA-HO~_ET,_

Fier cit~yen', vieillard. inexorable,

Je ~erai. plus que toi c~·uel, impitoyable._

SCENE .VI.

MAHOMET, QM;_AR._

QM_AR._

MAHOllIET,

il faut l'ette·,. 011:nous sommcs perdu-s :_

Les secrets des tyrans me ·sont déja v,:rndlis.

Demain la treve expire, et <Jemain l'on t'arret<c;

Demain, Zopive est

Il}ªItr~,,

et

fait

itomber ta tete.

La rnoitié d1uinat vient de te condamner.;

N'osant paste combatt;:re.;

QP

t'qse assassü1er._

Ce meurtre d'un héros, ils le no~nun,ent $U¡>plice ,.

Et ce complot

obs.cm;

., ils l'appetlent justice ~

MAHOMET.

lls sentiront la mienne; ils verront ma fureur.

La persécution

fit

touj_ours ma grandeur.

Zopire périra,

OMARi

Cette tete funeste,

;En tombant

a

tes pieds, fera ftéchir le reste.

M~is ne perds point de temps.

'.MAH-OMET.

l~ais, malgré mon courroux,