-- LE' fANATISME.
Que rten ne Vous alarme et rien :ne_vous étonne.
Allcz ; malgré les soins de l'a.utel et du treme,
.Mes yeux ~ur vos destins seront toujours ouverts;
Je veillerai sur vou's ·éomme sur l'univers. :
(A
Séide.)
,
~
.
Vous, sui~ez mes guerriers; et vous, jeune Palmire, .
En servant votre dieu., ne craignez q,ue Zópire.
-'SC1EJ'NE · IV-.
MAHOMET,..
01\H\ríl.
MAHOMEri}.
To1, reste·, hrave O.mar; i.l est témps qtie' m,c>n creur
De sés,derniers-replis t'ouvi·e la p1:ofo~deur.
D'un siege encor doutepoc lá.lenteur.ordinaire,
J>eut retarder ma;c0urse et borner 'roa carriere :,
Ne domfons point le, te·m_ps aux mortels crétr9.1n.ptts
De rassurer léurs yeux de ta:µt d
1
é.clat frapp¿s.
Les préjugés , ami, sont·les r0is du vulgaire.
Tu connais quel oracle-et qu~l hrl,\it populaire
Ont promis Puni~er§
a
f'e.1ivoyé d'un Dieu, · .
·Q_ui; re~u dans 1~ Mecque, et vainqµeur en tout lieu ,. ·
Entrerait dans ces murs e1;1 écartant la guerre;
Je viens mettre
a
prbfit les erreurs de la forre.
Mais tandis que les miens ·,)>ar de nouveaux
efforts,
De ce peuple ·in'cbñ.~t.arit foút móu~oir les re~so.rts
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De quel reil revois-tü. Pa1rriire
av.ecS_éidc -?
01\l:AR.
'Panmi tous c'es enfants enlev,és par Heic.jde,
Qui, formés sous ton jo_ug
et
uourris dans ta l~i,
, N'o!lt de dieu que,lc ticn, n'onJ de pe~'e qu~·toi,