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LE FANAT'ISME.
Leur demeure est un temple ou ces femmes sacrées
Levent au ciel des mains de leur maitrc adorées.
Le jour de mon malheur, hélas
!
fut le seul jour
Ou
le sort des combats a tra"ublé leur séjour :
Seigneur, ayez pitié d'une ame d:échirée,
Toujours pré·serite'~lllK
tietixi:dl@nt
j.e suis sépar~e.
".
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V
ZOP'I'R.É.
'·."
J
1
cntends :·vo1:1s espérez pa1\ ager quelque jour ·
De ce maiire orgu_e'iUeui et
la
ma
1
in et 1;amo_ur.
PA.LMIE.E.
Seigneur'
je
le rév,e1re_r, ¡Ct
IIl(!Ml
ilm,e·~re.mb1ante
Croit voil' dans Ma.homet un dieu ,q1ú m',épouv,a,pte~
Non, d'un si grand
hymgn
monrQre:ur n'est point flatté_;
Tant d'éclat
cor:i.svieu.llm~l
a
tant 4 '<i>bscurité.
2'0'P-JV.R.E.
Ah! qui que vous
s(l)yez·,
:¡J
n ie'st poh1t né peut...~re ·
Pour etre votre ·ep-dux ·, 'ch·c-or'rn:oi·ns
vdtre
hraitre;
.Et vous sém
1
b'lez
•éi
luri-
s·a·iíg
fárt
p'b'trt
fümne1·
·des
J}ofs
A
l'
Arabe i'nsolen't 'qui ma1·the ~gdl
·:nix
-i-oks.
PAL'MIRE.
Nous ne conna_isson~ rpoilü For;gueil de la R~is~an_c-~ :,
Sans parents, sans .patirie , esclavies des Fenfaqce,
Dans notre égalité nous chér.isspn~ nos fors;
Tout nous est étr~'Qger.,
h?r;
le dieq q~e je se~1s.
\
. , .
,
,Z·Q•Pi[R-~ .
Tout vous est éti~ n~br;! Oet
1
é'tiatipeut-il ·p-laii:t1e?
Quoi
!
vóus servez 'un mwrtra,. ét -il'llvez point de perc?
D'ans mon t1-i'ste 1p·a}a.i-s,, seul·et 1~riv:,é·<il,'erifants,
J 'aurais pu
VOÍ.r'I\\U iVOUS
l'ap¡pui de mes vieux ans.
Le
soin.devous former de-s destins plus pr_opices.