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ACTE CINQUIEME.
SCENE
l.
E
G I
S
T
H
E ,
N A R B A S ;
E
U R Y
C
L
E
S.
NAREAS.
LE
tyran nous retient au palais de la reir:ie,
Et notre destinée est encore ,incertaine.
J e tremble pour vous seul. Ah, mon prince
!
ah, mon fils
!
Souffrez qu'un nom si doux me soit en.cor petmis.
Ah
!
vivez. D'un tyran désarmez la colere,
Conservez une tete, hélas
!
si nécessaire ,
Si long-t'emps menacée, et qui m'a,tant couté.
¡
E UR YCLES.
Songez que, pour vous seul abaissant sa fierté,
Mérope de ses pleurs daigne arroser encore
Les parricides mains d'un tyran qu'elle abhorre.
ÉGISTHE.
D'un long étonnement
a
p eine revenu,
Je crois renaltre ici dans un monde inconnu.
Un nouveau sang m'anime, un nouveau jour m'éclaire.
Qui, moi, né de Mérope
!
et Cresphonte est mon
pere
!
Son assassin triomphe;
il
commande, et
j,e
sers
!
Je suis le sang d'Heq:ule, et je suis dans les fers
!
NARBAS,
Plút aux dieux qu'avec moi le petit-fils d'Alcide
Fut encore inconnu dans les champs ele l'Elide
!