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ACTE IV, SCENE I.

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FRÉLON.

Eh bien!

quel mal

y

a-t-il

a

etre de son pays?

FABRICE.

On prétend que vous avez eu plusieurs conférences

a vec les gens de cette dame si colere qui est venue ici ,

et avec ceux de ce milord qui n'y vient plus, que vous

1·edites tout, que vous envenimez tout.

F RE E P O R T ,

a

Frélon.

Seriez-vous un fripon en effet? je ne les aime pas,

au

moins.

FABRICE.

Ah

! Dieu merci,

je

crois que j'apergois enfin notre

milord.

FREE

PORT.

Un

milord! adieu. Je n'aime pas plus les grands sei–

gneurs que les mauvais écrivains.

FA.BRICE .

Celui-ci n' est pas un grand seigneur cornme un autre.

FREEPOP..T.

Ou

comme un autre, ou différent d'un autre, n'irn–

porte. Je ne me gene jamais, et je sors. Mon ami , je ne

sais;

il

me

revient toujours dans la tete un e idée de

notre jeu~e Ecossaise: je reviendrai incessamment; oui,

je reviendrai , . je veux lui parler sérieusement; servi–

teur. Cette Ecossaise est belle et honnete. Adieu . (

En

revenant.)

Dites-lui de ma part que je pense b eaucoup

d e bien d'elle .