ACTE QUATRIEME.
SCENE l.
FABRICE; FRELON, dans le café
a
une table;
FREEPORT, une pipe
a
la main au milieu d'eux.
FABRICE .
JE
suis obligé de vous l'avouer, M. Frélon ; si tout ce
·qu'on dit est vrai, -yous me feriez plaisir de ne plus fré–
quenter chez nous.
FR.ÉLON,
Tout ce _qu'on <lit cst toujours faux; quelle mouche
1
vous pique, M. Fabrice?
FABI\ ICE •
.Vous venez écrire ici vos feuilles : mon café passera
pour une boutique de poisons.
FREE POR T,
se retournant vers Fabrice.
Ceci mérite qu'on
y
pense, voyez-vous?
FABII.ICE,
On prétend que vous dites du mal de tout le monde.
FII.EEPOII.T,
a
Frélon.
De tout le monde) entendez-vous? c'est trop.
FABRICE,
On commcnce meme
a
dire que vous é tes un delateur,
un fripon; mais je ne vcux pas le cróire