PRÉFACE.
méprisal:>le peut. seryir
a~
QQntraste
au plus g~-
1ant
ho~nme.
J'a.joqt~rai, poQr
la
jq~tifi.~<!titm de
M.
Hom~,
qu'il a l'art de ne présenter son Frélon que.
dan~
de,&
U,1QQlents,
OU
l'jntéret n'
t;St
pas
t}QCOr~
VJf
et
touchant.
U
a
imüé c~s p€i.ptr~s qv.i p~igrnmt un
crapaud,
-qp.
léz,ard,
une
coul~µvre., dan&
un
coin du tableau, ~u conservé:\nt
~Q~
p€rso.nnages
la .pohfo~se de
]t}µr
caraetere...
.
Ce qui nous a frappé vivement dans cette
piece, c'est que l'unité de temp&, de Jieu, e1l
d'action
y
est observée serupuleusement. Elle
a encore ee mérite rare chez les Ang1ais comme
chez les ltaliens, que le th€atre n'est jamais vide.
RieQ n'est plus commun et plus choquant que
de voir deux acteurs soPtir de la s~ene, et deux
autres venir
a
leur place sans etre appelés, sans
etre attendus ; ce défaut iusupportable ne se
'trouve point dan~ l'
Eoossaise.
·Quantali geme de la pieoe
,il
est dans le haut
comique, ,nelé au genre de
la
simple comédie.
L'honnete homme
y
sourit de ee sourire de
l'ame préférahle
au
rire de
la
bouche.
11
y
a
des eodroits attendrissants jusques ~ux larmes,
mais sans pourtapt qu'aucun personnage s'é–
tudie
a
etre pathétique : car de meme que
Ja
bonne plaisanterie consiste
a
ne vouloir point