ACTE II, SCENE V.
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Méritons Amé~ie en me couvrant de gloire.
Je ne suis pasen peine, ami, de résister
Aux téméraires mains qui m'osent insulter.
De tous les ennemis qu'il faut conibattre encore,
Je
n'en
redoute qu'u:°, c'est celui que j'adore.
FIN D
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