ACTE
n,
SCENE III.
• Tu m'as trompé, cruelle, autant que l'amour meme ;
*Et maintenant,pourprix de mon errcur extreme,
*
Détrompé des faux biens, trop faits pour me charmer ,
,,_ Mon destin me condamne
a
ne plus.ríen aimer.
*Le voila cet ingrat qui, fier de son parjure,
f
Vient encor de ses maiRs déchirer ma blessure.
S-CENE IV.
LE
DU,C ,.
LISO IS. •
LISO IS.
A
vos ordres, seigneur, vous me voyez rendu.
D'ou vient sur votre front ce cha_grin répandu?
Votre ame, aux passions long-temps abandonnée, .
A-t-elle ~n liberté pesé sa destinée?
LE DU
C.
Oui.
·LISO IS.
Quel est le projet ou vous vous arretez?
LE
DUC,
D'ouvrir en fin les yeux aux infidéÜtés,
De
sentir mon malheur, et d'apprendre
a
connaltre
La
perfide amitié d'un rival et
d'un
traitre.
Comment?
LISOIS.
LE.
DUC.
·c'en est assez.
L rl
S
Q
IS.
C'en ,est trop, entre nous.
-Ce tra,tre, quel est-il?
,
.