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MOU

farmcms des ch:monsprcfquc fc:mblablcs

ceuX; des

coudricrs. lis fonc decoulenr

jaunirrc.

Tome cecee

plante cfi lingulíere pour

gravelle

on.a con–

nu p:tr expcricnce qu'cn fatfant bo1re le vm de

fa.

tlécoélion , on rircrn

I:¡

pierrc des reins. Elle Croit

au:c montai¡.ncs fablonneufes ,

parriculicrement

camc les p1errcs moufliles.

~elques-uns I~

pren-

;~i;rfo~~rd

'~n°Íari~:ia~;~~irr;~~n~dt1~~~i~~

Íu~ucin~

en éela l'opinion

c:rronéc

du commun. M. Ménage

dérive le mor de

MMffe

M11-fañ1

oude

MHjfit!n,

mor Lacin barb:uc done s'dl fervi Gregoirc de

Tours.

MOlJSSELINE. f.

Toile de coton. La belle viene

Lcv.mr.

MOUSSERON.

Efpece de champignon rour

blanc qui viene

all

mois de Mai. On le rrouvc ca–

ché fous la moufiC:,

c'clt dcl:l qu íl a pris fon

nom.

MOUSTACHE. f.

~fanivelle

qui

fe fiche dans

les rochcts

bobines des Tireurs d'or,

dont ils

fe fcrvcm pour rircr

dcvidcr lcur

fil

d'or

foye.

MOUSTARDE. f.

Compoficion foi1e·de graine de

fencvé, broyéc avec du moU.t ou du vinaigrc. On

:~~1~~-'í.;;~cc~~~C~º~~~~:i~:ta~~l~:e¡:~~~~:,~;~

C:'lufc que

bonrle Mouíbrde

fe faic

molir.

Ce/Je d'Anjou cíl: b·meillc!urc : il n·y entre que le

moi'tr

le fcncvé ; celle de Paris ou de Dijon eíl:

plus fonc, mais l:i moins bonnc. Elle fe

fait

avec

une pccitc graine blanchc mC:léc de fenevé que l'on

broye entredcux

erres avec du vinaigrc : elle a le

goí'icde lcvain

prcnd au nés.

MOUSTIQ.UE.

Efpece de mouchequi fe trouve

d:ms les Antillcs,

qui n'efi pas

eiu:s

gr?ífequ'unc

pctite poimc d'épingle, mais elle

pique bien

plus

vi-

:,~~:~ (u~·~a

peca~

~~~%e~t~~n~~~:sdc~o~:~~;.~~~

forces de mouchcs ne

rcncontrent qne le long des

rives dela mer qui fonr

l'abri des vems.

n·ett pas

poffible de s'y, arr&cer ni le foir ni le matin, fans en

~rremurmemc.

OUT

O N.

Agheatl m:ile que l'on

ch3.cré

pour

faire engraiílCr plus facilement,

en cendre

chair plus rendre. Les Moutons de Beauvais

forn

~~=i~cJ~P~:~c~~asedu;h~~~~~cf~: o~~ib~i~e~'lnL<T~

Les Fureticrifl:es diíent que la bonne chandelle ?e

fair de

fuif

de Mouton. Errcur. Seule , elle cfl: rrop

fond<'lntC,

ne fauc

~uc

riers au ·plus

refl:c

de fuif des grandes betcs ou de bouc

de chévrc.

qui eíl: le meil\eur.

en a dans l'líle de Madagaí-

car done

fc.ulc qucue .Pefe quinzc ou feize livrc:s;

fclon cenames Relauons , celles des Momons de

~r~rst.ª~c;sef;n~~;e~~l~!~~~~'fiu~~r~;;r~~v~:frtsJ!~

Mourons fans lame, qui

onr du

poi\ ainfi

que

les

chévres. Ceux de l'Indoílan ont la laine forr coune

fon

fine. D'aurres dans

Perfe l'onr aulli forr

fine ,

cene laine combed'elle-mCme dans de: cer–

tains tems. 11

a encare une fone de bCte

12ine en

~~:¡;~i~ª;i~·~~¡~~;'~~ ~:

:~u~~:;"~!;"~;~~;~

cornes

par la queue, qui eft

brg~

rnnSe,

qui s'allonge

mcfore qu'il .s'engra1ffo. Toure

g1ai<fe efldnm cene qucue. On crouve au Peroudes

Mourons plus hauts que des

3.ne

lis

ÍOnt

affés forts

?·~~r1c~

~e:o~~~r~~r1:c~~~cd:u~cf¡:1~;~~1

~~r~~~l~fle~

Q1clqucMmsdérivem ce nom de l'Italien

Mo11tone,

qu·ils préccndenr avoir éré faic de

Mo,,r,

:l.

c:míc

Tome JI.

M OU

que les hóns Moucons om accoUn.lmé

dé

paícd: auX

hcuxh:mrs &fccs.

appclle

Mastton

d~ns

le Brdil , un cercaitl

oi(ean exquis, dom le pbmagc eíl: noir

jaune,

(~r\e:~

grand comme

pa·on.

de dCux

Mo11to11 mari11.

Sone de

poiflOn qu'on appelle

ainfi

cauíe qu'il eft d'une coulcur bfo.nche •

. qu'il

dc'S comc::s rccourbé'es comme !·e mouron de

rerre.

On appelle auffi

M"Omon,

peau

mouron

f¡~?r:c~eÍer~~~~1;~~rl~~:~~~~J~~~/v~.donr

les Re-

On appelle

Mout~n,

daos une foanecrc, un lourd

billoc dc.bois garni <;le fer. que des .clefs reriehnCnc

au-dcvam de dcux momans,

qn'on leve par des

Cardes

force de bras, pour

laiflCr recomber avcc

force Cur

la.

cCce des pieux

des pilotis qu'on YCur

fa1re enfoncer.

en a qui couvrenr auffi le llout

d'en-basdu billoc, d'une platine de fer de:: cole. Au

bouc d'enhauc il

a deux perics crampons oU fom

atcachés les deux cordages qui paffcnt par les pou–

ltcs.

Mo1tto111.'Terme

Charron.Pccirs piliers de

bois

Í~1~

l~s

f~~:~~~sd~~:~:;r~íl~r~~~u~~~'J:

;~ce~

tenir le corps d'un carroíIC.

y en a quau:.c , deux

dev:rnc

dcux dcrriere.

:ll1omon.

Gros morce:lude bois , dans ICquel on

faic entrer les anfes d'une cloche pour

pendre.

MoHton.

Machine degnerre , appellée

MArmoll-

1011 ,

Carcamouffe,

qui écoit le belier

de~

Anciens.

;·:~~i~c~:~~~~~:;r~:.1~ ie:

l~íP~

~:ª

"~c~Y~~~~~~~

c¡ant avec des cables , on en fr:appoit les murs d\inC

ville, jufqu':l ce qu'ils rombaílCm.

MoHton.

Ancienne monnoic d'or qui v:iloic

dix–

huit fols Ítx deniers,

qne dans les aél:es l acios on

appclloit

M111_011eJ.

Cene monnoie avoic d'un c&cé

l'1mage de

Jean-Baprifle,

de 1'3ucre un mou–

ton avcc

coifon en fa gueule, d'oU forcoit une b2n–

derolle avec ces mots

Ecce

11gnw

Dei.

On crouve

dansFroiflard,

L'tln

1554.

onb.111irde1florin1dit1

Agnd,

parce

qH'en

la pile il

1woir

hn .Agnd,

~toient

de cihc¡llAntt-deu:t·

a11marc.

Ec allk:urs:

L '1111

lJP·

Mb11ttitdeJ

rno11ton1d'or fin.

MOUTONNAGE.

í.

m. DroicSeignt:nrial,q1tifele–

ve en ceit':lins lieux Cut ccux qui vendc!nr

achc–

tCnt du bérail ou aurres marchandifc:s fur l'e fiefd'nri

Seigneur.

M OUT O NNE. f.

Coifurt de fcmme guia é1e

long-cems en ufage. Cécoir une treflC de chc\feux

rouffue

frifée qu'Clles menoienc fur lcur fronr.

C'dl:

prefcnt

derrieré dé

tCcc. •

M~~~?,~!~~~· ,";o~~:fu~~eq~~~t~~~~~ ~~~)~~

mes blanchic, en force que les houles pacoiflCnccom–

me des momons.

MOUTURE.

f. Droic tjue prennem les Meltnitrs

póur moudre le

Olé, il

eft fücé?t.u

feiziémé.

MOUVANT,

ANTF..

adj. TermC de Blafon. II fe Hit

despieces qui femble'nt forcir dl.l chef, des :ingles ,

des flanes

OLl

poimc de l'écu . oU elles fonc ac–

renames,

"11z.Hr

911drre ch11;nt1 d'or, mo111ntn1a

de;

gttatre

angle1 de

f'Ycu,

/if'C.s-m

ccr11r

11n11e111f.

dtmlmt.

MOUVEMBNT. f. m. Termc de Phyfiqúe. Aé1iort

par laquelle un corps el't: rranfporcé d'Un licu

:\u:rc. 11 y2 quauechofes

conÍtdCret dans

mou–

vemcm, lá mnffe du corps qui

éfl-

míi, l'efp:ice qu'il

parcourr' le cems qu'il emploic:

le pat'coi.U:.lf . ld

cOré vcrs lequel il fe meuc,