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Superfetañ~mdes femmes..on tiene que la .super–
fcr:uion arrtve fouvcnt auxhcvres & aux trmcs.
SUPERFICIE. f, f. Surfoce, étenduc en Jong & en
~~;~d~u~;~tf:i;:o~~~~~~~~7;~t{,;p:~fi~~nrp~;,,~~
ell celle qui n'a cbns tome fon érendue aucunc
incgalilé, cellequ'ell: celle d'un paralldogramrn.e_,
d'un ccrcle, &c. L1e[Hptrficie coHrbe ~>U cHrw/1-
gne • eíl: ccllc qui a des inega~ités produacs ear des
lignes combes, qu'cllc conttcnt, descndr~HSplus
Cm moins élevés , &c. tclle eR: h fuperfic1e d'un
globe. Les fuperficics courbc:s Ce div1fcm gencra–
lement en c~nvexts & concaves , du reíle il y en a.
d'aurnm d'eípeces differcntcs que de corps compris
en cout ou en panic fous eles lignes courbes.
SUPERFIN. •dj. Les 1'ireurs d'orappellent Trair[11-
ll extrémement fin.
, tNn. adj. Termede Geome–
& d'Arichmerique. On s'en Íen pour expliquer
la proponion dedeux lignes ou de deux nom~res,
dom le íecond contiene une ou plufieurs fo1s le
premier avec quelques-unes de Ces par~its al~·
quores. Ainfi 4. & 1S. fom. ~n propo~uon m-
~!~rf~~;rt~~~~i~~:; ~~~~5requ~n~r:i~sd~ feusií~~~trJ
mes panies.
SUPINATEUR. adj. Terme de Medecine. On ap–
pelle MN/Uei fopi1111ttur1, deux des quatre Muí–
clcs qui font mouvoir le rayen ou l'av2ntbr:is.
L'un de ces muícles fe nommc Le Ro11d > l'autrc
sJ~#f{Qlii;. f. f. Terme de la Chancellerie Ro·
;..~~iÍio~~uªfi~~~~~"Í~ l~¿~~";¡i~r~!:1r~i~e~~~~
n:mt le memoireque l 1ondonne au Pape de la gra–
ce qu'on veut obtcnir. Toutcs les choíes qui le
~~r~v:;;1i~~t:; ,p~::c~~~~~~ !11 ;~'~';;dr~rp>Jcé~0~:1~;
& obreptice. On apeelle auffi Suppli9ue. La prie–
re qu'un Dachelier foic d. chaquc DoCceur , pour
Ctrc ~e}u dans quelque Maifon de b: Faculcé. Ce
moc dlIralien , Suppl1c1t.
SUPPLOYE.R. v. a. Vieux mot. Supplier. Borcl veuc
que Soupplo7er aie été die , commc de Souíplier
les genoux pour obtenir ce que l'on demande.
SUPPORT. (. m . .Aide , Appui f foÜtien , prouc-
~i~:·c:dce~~isfq~·.::~~;~{ ~::0bal;~cr~~r ~{opn:r~~~
ponr cela en quelques cndroits. Cette barre ) qul
va coue du long , & qui cíl: follcenuepar les br:is
des poupécs qui s'approchcnt & s'éloignenc comme
on veue , eíl: poíée de champ , &: éran~ un peu
moins élevée que les poinces des poupées , elle
{en d'appul pour les ourils loríqu'on cr:ivaillc &
que l'on coupe le beis. Les Suppons que l'on y
met anx endroits oti elle cíl: pcrcéc, Íecvent i fou ..
tenir les picces qu'on murnc, qui onc trop de por–
tée.
SupportJ, en termes de Dlaíon, fe die de ccr...
t:' :'.l.nimaux :1 qnarre piés>oiíe:' ou amres
~ feº;:lc~etÍ~ff:~~~~~~r~O~~sd~~·i~c~·A~~l~~~t~~l~~~
d'nn cOté un leorard & de l'amre une licornc.
D'autrcs yommis des :iigles, dcslions on des grif–
fons. Les Urfins yom mis des ours par :illufion :i.
lcur nom. Les Suppons des Armes de Fr:tnce fonc
<les Angcs, & on tient que Charlcmagm: cíl: le pre..
micr qui s'en Coie ícrvi. D'autrcs diíent que ce fue
Philippc VI. ayanc foie fa devifc d'un Ange qui
ren~eríoit un dragon , :l. caufe que les Anglois
:tvc;>1em pris cet animal pour devi(e. 11 y en a
qu1 veulem que quand l'Ecu eíl: porté ou pa.r des
SU P
Anges ou par des figures humaines , on les doit
r~~~~~~ r::~~ir', ª;~~~S~;;DY~·:~l~eft~¿¡~ed~-~
que ~es animaux: D'amr~s préten.~em que s1jl n'y
a qu un fcul animal qu1 pone l ecn, on le doit
nommer Tmant , & ques'lly en :i. dcux , ce fone
desSuppons. Ceux des Princesde Monaco fom des
Moincs Augufrins.
SUPPORTANT, ANTE. adj. Terme de Blafon. II
fe dit ~e lafaíc~ q~a~d clic Íemble foUtenir quel·
que animal , qut cíl peine au chefdel 'écu, quoiqu'il
ne porre que íur lechamp.
SUPPORTI:.' J E'E.adj. Terme de Blafon. Lorfqu'un
écu eíl diviíé en plufieurs quaniers, il fe dit des
plus haucs que ccux d'en ba.s femblent íoUer:nir.
~andlechcf eft dedeux émaux ,& quel'émail de
l~a:;~~!~ ~~;Í~;~:r~;. occupe les deux tiers, on
SUPl'OSIJION. f. f. Allegaiion d'une chofe pouc
une amrc. SHf!•fttion, eft aul'Ii un terme de A1u·
fique, & il i~ dit quand apcCs un bon accord ,
~~i~:o:~ePt:~~:/~~~~~~~s fe~~~e~~~s ¿c1';Pj~~~~~;
en parfanr. Cela s'apJ?clle Suppofition. :lcauíeque
~C:g~o~d>~l~º/c~~~~n~1~~1~C:~:~c~uF.~l1~esn~!~~r~;~::::
ployées.
SUPPOSITOIRE. f. m. Termede Pharmaoic. Medi–
camcnt folide, arrondi & faie en pyramide , & qui
cft deniné pour le fonde~em.. 11 cílde lagrolfeur
& de la longueur du pem do1gr, & compofé de
cñoíes qui íervcnt :i lachcr le venere. On en don·
ne pour plufieursautres fins. foic quand le rnaladc
a trop peude force, ou qu'on n'a pas le loifird'ap–
rC:ter un la~ement) foit pour fairc rcndrc ceux que
l~~~l:~~~~:ºfo~~~!~~~~~~ ~o:/~~~~:rre l~~~eh~s~
ou loríque quelquc deíccme de boyaux ou d'au·
tres incommodités du íiege ne permcuent pas ICJ
lavemens. 11 ya deux forres deSuppolícoircs, l'un
facile :i préparcr & fon familier d la campagne. 11
{e fa.irde laracineou de la rige de mauve , de bere,
d'arroche , de chou, ou de mercurialc, cinte de
beurrc falé, de favon bl:rnc& de farine cuitc d:m'
de l'cau &:du íel, ou d'unechandelle de cire cin–
te d'huile. Cclui-ld. eft: propre pour les cnfans. L'a.u ...
tre de miel cuie en confiílancc folidc , auquel
on quclqucfois un pcu de fe! , & quelque–
foi endrespurg.uives fuiv:me la force qu'oR
lui veuc donncr & la neceílieé qu'en a le m:ilade.
Si les m:uiercs fonc rrop fcrmes , ou que la faculté
. ;~~d~~·i~~ ~¡~cr:r:p:f:lfc!~:rn:"n~o:e :Cf·~~~~o~d:
& quclquc:fois :i l'cuphorbc. Comme l'uíage ex–
ceffifdes medicamens :i.cces & corrofifs peur exul–
cerer l':mus •il faut gardcr la mediocriré aurantque
l'on peut, en ne mcuane au Suppofüoirc que de la
poudre d'hicre picre , ou d'aloCs, ou d'agaric, avec
le {el commun , d. moins qu'une puiifance neceffi1é
n'oblige d'-avoir recours 3 des tnedic:unens plus
~~ 1r~~e~c;t:,e.i,~s ¿fu~J!e~ep~~c~u~~~ift~!~~eBf.~~11~~:
:re¿~ls fu'¡~fd~"{a~~gl~:~· 1L~o~sº: d~ s;~f4f;:;;;;
Mccrrc.
SUPPOST.(. m. Tcrme dogmatique. Ce qui fert de
bníc & de fondcmcnc3 quclquc chofe. En ce fcns
on die queL'lmm11n;tt'~Phf11pp0Pde l'ham1m.
SUPPRESSION. f. f. Aétion de fupprimer. 11 fe die
de l'extinaion d'unech:tq.~e , de droits , de renrcs.
Le~ Medecins appcllcnr Supprej/ion d'11rin1, Une
maladie qui en gener:il dépcnd du vice des rcins