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des écumoircs ,

le laiffent retomber enfoite de

;~~~~~~~t ~ª~:uU1~~~ª~~ai~:'~~~td~u~: ie'~ef~~~~

raroirc. oll on le rcmuc cominuellement avec une

Ía~t~t~~ 1,~o~º!i~fij~;:·~u';a~~eb:;n~:a; !:~

-it~~

on le vcrfe dans les formes , qui fonr c¡,uelquefois

de terrc, mais pour l'ordinairc on les

fa1t

de bois,

qu:mées

en pyramides. Elles íonc pofées fur de

grands

uereJUX ,

a des canots diílOus pour

rccevoir ce qu'cllc:s dégourcm. A l'exffCmicé deces

formes ou maules

efl:

un pcrit trou dans lcqucl on

fourrc une pccice vcrge de fer cu de bois auffi avant

qu'on le peut, jufqu'i ce qu"clle n'y

puiIT"c

plus cn-

~t~~¡' o~ ~u~a:~ ~~:h~r f~~t~~~~ift:~:p¿;~~~i~~~~

Les

écumesdes íecondes

des croifiémes chaudic–

res. &rource qui fcrépandloríqu'on remuc le

fue~

rombcnt dans le glacis des fourncau:t ,

coulem

dans un canor, oU on

les

referve pour en fain:: l'eau

de vic.Les c.mnes brifécs ne dcmcurcm pas non plus

inmilcs) puifqu'ellcs fervent

cngiaiffer les porcs'

dom e!les rcndem la viande excclleme. 1l fauc avoir

foin

ver fouvem le vaiíli:au qui resoic le fue

des cannes

le canal par oU il .PallC, de peur qu'il

~~ecl;rf~~~ ;;~ej~f~. ª1~r~~

;~euri~~t ~;

fa~~~~~~

jcttoir un peu d 'huile dans les gr:tndes chaudiercs ,

ou un peude leffivc: dans les!ctites.

?aº

c;ffu'~~f

:::-:

';{;rii

fo~a~~(i~~~eb~~n;ain~

doir étre extrCmernent blanc

égal par tout ,

d'un grain fin , ferré, brillant, fermc

neanmoins

facile

caCfer; ce qui cíl:

marque des bons

fu–

eres. Le

S11creáemi-ro7al

efi: auffi du fuere en petit

pain , excrCmcmcm blanc, qui vientde Hollandc,

envcloppé de papicr vio!et. II en vcnoir :J.Utrcfois

des fueres du po1ds dedix-huit

vi~gclivresdans

~~,r~e:;

~:s,,,:1~ t~f~~;;é~~¡(~!a

;,f)ª~~!:.ªJ!~;~~~

~~eeau~~i~o%~·d: fu~r;~~~.~~º~~.~~ ,:~¡~"~;:

cannesfansCrre affinée.

Le Sucre candi efl de denx forces, le blanc

roux. l.e

S ucrecandi Mane

cflde la caOOnadc bl:m–

chedu Brelil

du fuere blanc fondu enfemble. On

le cuic

la grande perle,

on le mee enfuite

da.ns

~~: fat~º:n~~h~~¡J:er~;r:',~uff~ic~a~~c~;e~d

quinze jours qu'il demeure

l\~ruve.

Duram tout

ce ccms il faut qqe le feu de l'étuve foit toUjours

égal, aprCs quoi on l'en rerire pour le faireégouc–

ccr

ft:cher.

fauc le choiíir blanc, fec, clair

cranfparem. Le

Sucre cam{i roux

fe faic de lamCme

forte , avec cette difference, qu'il fa,ut prendre des

C2ílOn:ides bruncs , le faire cuire

la fouille ou

la plume ,

le menre d:ins despots de terre, parce

f::c

l~o~esr~~~;c~~~;iy~~:.~~1~~e~~:~~-h~~sc~~c;·~~

poitrinc.

Le Sucre:ippellé

Sucred'orgeblan~,

eftdu fuere

cuit

caffer,

jené ·fur un marbre cnduic d'un

peu d'huile d':imandes douces ,

enfuitc manié

comme de la pite. On lui donne telle figure qu'on

veur par le moycn d'un cloud ou crochet,

pour

ne fe pas brUler les mains on (e les frotte d'ami–

don. II y a un amre Sucrc

caíli:rque l'on appelle

auíli

S ucre d'orge ,

quoique ce ne

foit

que de Ja

caílOnadc fonrlue dans de l'cau clnriflée

jeuée

t:nfuite fur une pierre graiífée d"un peu d'huile d"a–

manrles douces , aprCs qnoi on

forme en pctits

hitom. On lui

:>.

doDné ce nom

caufe qu'il cft

·suc sun '

d'unc couleur jaune comme l'orge.

On appelle

Sucre r#fitt.

uo Sucrc b!anc, cl:trifié

cuit en confillaocc de tableues dans de l'eau ro–

fe. Lorfqu\l eft cuit , on en forme des tabletees de

;fe

¡~~:~~r;s:

1:~~~u~~cb;~Íq~;

;:~:.~r!o~;

fec

refroidi. On l'ordonne

ceux qui p1·enncn_t

dnpecitJair.

SNcrt,

fe ditauffi en Chymie, &onappelleSH–

cre d'a'11n,

l"alun

tir.é

imbibé t:lnt de to1s de fon

propre phlegmc, qu'il cfl fans acrimonic

inlipi·

~c.

Ce fuere d'alun eíl: fingulic:r daas la fic!vre hec–

t1quc

dans la dyfcnteric. Le plomb calciné dj(.

fous par un acide,

paniculiecemt:ot par l'acide

volar1le du vinaigrc, ac<Juien une faveur douce,

fe change en une chaux qu'on appclle vulg<li¡ement

Sucre de S4t11rne.

On vcrfe par inclinationladif–

folution qui a. écé faite dans du vir:iaigrc diilillé.

philtre,

aprCs qu'on l'a la1ffé évaporcr

il. fe forme des criftaux qu'on purifie par plulieurs

d1lfo!utions réúerécs. Ce Sucre de Saturne, lion lo

rcnd inrerieurc;menr,abforbe cous les aci_des.

cft

,fr~'~~'!~~:ªpi~l;t~a~hJ~~sc~~d~~~{¡~:ie~~n~l~a~:~

taire daos la dyfenteric

caufe de fa vercu alumi–

neu(e afiringcmc.

efi auíli d'un fon grand ufage

dans la

hirurgie ,

comme

abforbe effcélive.

mene l'acide desplaies

des ulceres , il fait la bafe

de plufieurs cmpl:itrcs. Il

dl:

auffi admirable comre

brUlure. On prépare le

S11ae de J11piteravec

l'é4

(:lint

granulé. 11 fe donne intetieuremcnt pour les

alfeé!:ions hyfleriques

lesautresmaladies aufqucl–

lcs le Succe deSaturne conviem; mais il n'y a rien

de plus inurile que de l'appliquer fur le nombril

commeon le fair ordinairemem. avec quclque hui..

appropriéc, pour détourner le paroxifme hyfic-

sJ~~~ER.

r. m. PeJ'c vaitfeau ordinai:ement d'ar_.

gent,quel'on fert fur tablep!ein de fuere en p?udre.

Il cfl compofé d'un corps, d'un fond

d'un cou–

vcrcle qui efl en forme de dome

percé de pecitt

rrous, au uavers defqucls palfo le fuere qui efl de..

d:tns.

•

SUCTION.

f. Aétion de fucer. Terme de Me–

decine. Les Anciens :ivoient ér:lbli la Sué!:ion des .

vaiíli:aux du venrricule pour la caufe de l'appe–

üc , mais les Modcrnes ont emieremenc dérruit

cettc hypothcfe ,

ils ciennem que la digeftion

des alimcns , ou la faim , dépend du fue fer ...

memarif de l'e!lomac qui picote l'orifice gauche

ou fupcrieur du vemricule.

SUD

SUD.

m. Terme de Marine. On s'cn fert fur l'Q..

~~~¡J¡~~rJ~~~ifi~r~~ d~;~~(~~u~!~~ f}~~~:~~~~

fignifier celui des quarre Vems cardin:rux qui viene

du Midi.

S11d-Efl

S11d-Ouefl ,

font deux Vcntt

collatcraux qui riennem égalemenr, le premier du

Sud

de l'Efl,

l'amredu Sud

de l'Ouefl. Il

l.ª

des quarcs de ventqu'on appelle

Sud quartde

'SNd-Efl, Sud-Ejl qHArt de SNd, Sud.Efl quart

d'Efl

Sud 9uart de SNd-Ouejl

Snd-OH•fl

t¡Hlfrt de S11á-S11d-OHefl.

On die

Etre S11d de /11

Ligne.

pour dire , Eue au Sud , ou par deli l'E–

quareur.

SUDORIF!Q_UE. adj. TermedeMedecme.Q!t

provoque la fueur.

eft au'!' fubflamif '.

on ap–

pelle

SHdorifiqu~s,

des Mcdicamcns,

en pene–

tram jufqucs aux plus profondes pames d11 corps,

incifem

auenucnt les bumeurs, cmrainant avec