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MAR

pour donncr mayen de les harponncr. lcur chair

en afiCs noidtre.

Jls

n'ont qu'un poucc oudcux Je

brd,

grondcnt

~relquc

commc les pourceaux

de rcrrc

ce qui lcsfaitappeller

Pourceaux demtr,

en Larin ,

Sus

ma,.m111 ,

d'oU l'on a

fait

le mot de

MaY.fouin.

Jls om le fang chaud

lcsinccnins fem-

~~~U~l~s~

c:lJ~u~u,t::~rc~~u

d:'

lffic~(~cJ~~~~~~

04tre ces Marfouins qui fe uouvcm daos les Ancil–

lcs commc ;iillcurs . on

en voit une aurre cfpccc.

Ceux-ld ont le grouin rond commc une boulc

f:líCC

que leurrCtc rcílCmblc en quclquc fa<¡on au

froc des Moincs, quelques-uns lc5 appcllcm

Tites

de moitU

Moints demer.

MARTAGON.

Plante que M:mhiolc

croic

dc–

voir

~ere

mifc au rang des lis ,

fon

oignon , quoi–

:J.UC

pune, étam fcmb!ablc

oignon de lis,

produifanc fa cigcde

mCme. Les ft:uilles qui l'cnvi–

ronnem par imcrvallcs en fason de rofc ou d'écoi–

le, reffemblenc

la faponaria. Elle porte

ci-

~~:~~::~~~::~~;::fu1~ :i:i~~e', n~i~~~~: f:~t

les recourbécs de

mCme

forre

mouchecées de

poinces rouges, belles

odorames.

ya des Mar–

tagons bl:mcs, pourprés , orange1sou rouges ver–

meils,

un Marragon de

moma~ne

, qui ell:

flcurs doublcs

rrois rangs. Ces ncurs fom poin–

~;;~;,,~m~·un

pourprc blafard , en Latin

L1'111m

MARTE.AU.f.m. LonguemaílCde fer au milieude

~ª.~~~;:~ ;~>:nªa~~~~u1Í~·~nl~!sP1~!~c~:~~, t¿:¿

/~~

brccelés pour tailler la pierrc. les Serruriers en onc

de divcríes fortes, ísavo1r des

M artta11:r

panne

Jroire,

pour barnc le fer

l'élargir; des

Mar–

tea11:r

rabattre& dranne de1ra11er1,

pour forger

le fer

le rirer; des

arteaux

rErepiare ,

pour

drcílCr

p!anir le fer; dc:s

Marteartx

dtt

ronde,

pour emboU.rir les pieccs rondes

les demi-ron-

!cf!r~c~ft~:(:g-:.a~:~"r:v:~~~b~tep,clfe~~r ~~~~

te1111

ajfintt

, le Maneau done ils fe fcrvcm pour

fouillcr la ccrrc. Les Couvreurs onc un mancau

rond par un bout

poincu par l'aurrc.

m:rnche

en cíl: de fer

piaravec bifcaudes deux

cO.és

pour

raillerl'ndoife.

On appelle

M.'frUr.11

á'tpínetr.e

un petir Mar–

rcau d'ancr donr on fe Íert pour accorder une épi–

nenc ou un clavecin. C'cíl:avec quoi celui quil'ac..

carde tourne

enfonce les chevilles.

On appelle

M arte11H d'horloge

de montre,

~laa;;:~~ flu~it~ª!f~~~~~r

l'horloge ou la monu·o en

Maruau deporre.

Sonede Maneaude fer qui le

plus íouvenc eíl: unfr;ros anneau qu'on anachc

une

~~~~:~1¿:·;~~ai~crªJ%J~n~urq:~ilsgr~;e~lto~',

!eºn";

ouvrir.

MArteaN.

fe dit encere en termes d'eaux

fo–

rCcs, d'un fer avec lequcl les Officiers marquem

les acbres qu'il fam couper , loríqu'ils fom des ven–

tes de bois; ce qui fait qu'íl y a un Officier dans

chaque Maicriíc appellé

Garde-manutH.

Marrea11d'a7mu.

Soncd'armequi eíl: en uíage

chés les P,olonois. Elle ell: platee

ronde d'un c&cé

comme un maneau ,

de l'aucre clic ell: tranchanrc

faue comme une

hach~.

Marteau.

Terme de Marine. 11fedie du craver–

lier de l'arba1Cre , ou du b5.ron de Jacob.

~1clq11e

fois le biten de Jacob adeux mnrceaux. Ce fonc

des

piece~

de beispl::mes

qui onc de longueur

erais , fu, neuf

douze pouces. Ellcsfoncpercées

MAR

' .d'un trou quat"ré par le milieu , afin

d'y

pafier la

fleche de l'arbalCrc.

!'un des bours de ces mar–

teaux ell: placéc une pinnule qui faic trouver l'hori–

fon fenfible. L'aum! fcrt

faire ombre quand on

vcuc prendre la hauteur du Soleil. On appelle

Mar–

uau de pompe ,

Un marreau

rouc

de fer ,

moyenne groífeur. Auboucdu m:mche ell: un cire–

cloud , comme a un des cOcésde la

cece.Le

maneau

que l'on appelle

Maneau d denr,

ell: fourc

hu. On

s'en

fccc

arracher des clouxquand on conílruic ou

que l'on ndoube nn Ditimenr.

Ma,·1e1111.

Terme d'Anaromic. Pericos fair en

forme de marrcau qui fcrc au (c:nriment de l'ouie.

cft

ans l'oreillc incerieure

frappc fur

autre

qui a la figure d'un cnclume.

MARTELAG.E.

C:m.

Marque que les Officicrs deg

eaux

focCcs fonr fur les arbrcs aYCc un

1~ancau

dans les venrcs

adjudicacions desbois.

MARTELET.

í.

m. Pctic Mancau,donríe(crvenr le.s

Graveurs , Orfév1es.

autres,

qui

ttavaillcnt

fur des chafes délic:ues.

Maruln,

fe die auffi d'un perir Marceau done fe

fervenr les Couvreurs pour Jacer ,

rompre le nez.

de la cuilc, quand 1\s en om befoin.

MARTELINE.

Perit Maneau , donr

íervenr

les Sculpreurs pourgruger le marbre,

Cur-rouc

dans les cndroits, oU

ils ne peuveoc s'aider des

dcux mains pour cravailler avec

cifcau

maí-

;edc;~:~~rf~:;~~deubobno~~j:~s;~;~~lC~·~cf~r~~~:

quarrémenc afin d'avoir plusde force.

MARTE.LLER. v. n. Tennc: de Fauconnerie.

die

des oifcauxquand ils font Jeurs nids.

MARTELEUR.

ro.

Dansune forge c'ell: C::elui,

(~~~~~t~ba~~~~ f~irc

rravniller le mancau,de fairc

ly!ARTICLE.

Tenne de Marine. Les Marricles

~~~~nd~e~~~~~h;;:~~i ~t~~~~~:ab~ru~:~nd;se;o:~

~~r~~o~

~ftªfa~~

~a~~~{~:~e:·a ~~ªd~

~:;c~~~e~

~~;g~~ep~r~n:1ia~~ r:e~cªr7~i~~~~lltd~:n~;:i~;;es

pour répondre par d'amres cardes au choul¡uer du

{i~~~o~~e~

~~;i~;~ºf~r:·!

~:~~ ~tf::~~cin

va anffi

MARTIN-SEC. f. m. Sorce de poire rourfe

lon-

Mx~e~~Ñ:r:c.i~~tc;~~~~!1h~~~~!~f¡~~~i

a la

gorgc

le vemre blanc,

le dos noir5.trc. Cec 01ícau

vele fans aucun rcpos ,

ne fe perche Jamais que

dans fon nid.

M artinet

Plcheur.

~elques-uns

diícnc auffi,

~":r~n~:::i:e:;·cfne~~:;~eilua1~¡~;;~~~~,eªfo~; ~

aigu , la cCte couvenc de plumcs bleues claires ,

les ailcs blcues

femées de blanc, le corps blanc

un peu verr,

l'eflomac couleur de rouille

yen a qui croyencque cec oifcau étant fec , empe–

che qu'il ne s'engendredes ven dans les habits,

on l'arcachc dans un garde.meublc. On cien¡ qu'il a

• pris fon nom de ccqu'il

arri~e

au mois_de Mars

s'en rerourne

la famt Mamn. Cl!!and 1\ eft more,

~~~~j~~~:l~

:~~t~~ct~~~~~

~o~~ue ~~a;;~r~r'

Martina.

Marreau qui cfl mU. par la force dºun

moulin.

íeditdes marteaux des moulins:i papier,

rnn ,

& :l

foulon.

MArtinet.

Terme de Marine.

fedit de pluficurs

f.crires lignes qui partcnr d'un cap de mouton Cur

;;;ªte'

~rdu~evl:ch::cs"él2!U:·~~;~cf::;fe::~~