/
· ~st
expressément enjoipt
et
ordonm~
aux offi..
~iers
mµnicipaux
d.eslieux,
du~ment
élus .
par
.
l~s
peuples.,
d~
s'
empioy~r
de
~oqt
leµr pou..,
voir,
et
m.erhe de faire agir
a.u
besoin
la
forc~
militaire .,
tapt
la milice pationale que les
troupes
réglées ,
~
l'
effet
de
cl.issiper
les~its
attioupemens '
et .d-e
rétablir la paix
:/
la
tra1~
qtülli té
et la
. ~ífreté
.t>•
.JII~
''
L~
sus.dite
force milit.aire
pe
pourra
ce~
pendant etre
employée
aux
fins ci"."!"dessus'
qu'f~
Ja
r~quisition
et
~11
présence d.e
deux officicrs
pOJ,Jrr.oit Ctre
dan'ger~UX
de mettre entre leurS 111ains
Ull
I
pouvo~r
aussi
é-~ndu,
quoiqu'aussi
nécessair~, qu~
celui
qui
e~t
porté dans
Paqe.
~
Q.ue,. ce pouvoir placé <!:lans
Jes mains d'officÍers
non élus..
par
)~
pe uple, pourroit
~tre
un obstacle' en b,eaucoup de lieux'
a
l'établiss<:!men't.
de~
municipalirés sur les
vraiS,
princip~s,
parce
qu'elle~
pe
pourroi·ent etre créées sans que le peuple
~'assemble,
f:t
que ces assemblées
attaquant la propriété
des 1úaire
9U
échevins
en titre d'ojjice,
pounoient etre
considérée-~
,par
eu~
comme des
attroupemens
¡.éqitieµ.x.
Qu~
l'oq.
t ommence par etablir par-tout des municipalites libres
Q
et alors il sera tem&
d'é~~ndre ~
tout l(!
royauµ1e,
cette
loi sur
les artroupemen.s,
que des circonstances malheu·.
re'uses rendent
~ujo~rd'h_ui né~e s sai;·e
p_o ur la 9apitale
e~
~e s
environs, et qui ffe peu,t plus erre différée sans
dan~~r~
~o~~ .du c9wri~r
ác
Prpven(;e
¡
N°.
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