( t6 )
)es
aS-sociations-
pohtíqués"
et
a
toutes
tes
for....
m.esde gouvernemerit.
>~
Sous ce point de vue ; on croirnit
tlll
trravail de c;:Hte nature
tres-simple ,
et · peu
stms;c€ptible
de
contestations et de doutes.
la
moirié des inquiétudés qu'ep-rouvertt ses
~ienfaiteurs,
~Ill
cherchant
a
les réparer ,,
f
c.c
Le philoscpfle qui travaille pour le tems , et qui ,
ahns: son epoque' ne s'adresse
pasa
la multitude' doit
·11enger
Yhumarrité
sa-ns
ménageme11t.
Sa
círco-nspeC–
it.on~eroit
foiblesse , ses égards
lacheté,
sa
t~l¿rancé
l:Eé·varkatfon.
Uh_omme d' érat qui agit
sur
tous,
et
dan s
wn,
moment do rmc ,
s'assujetit
a
une matche
plus
mesurée;
il
ne·
Hvre
dés
armes au peuple, qu'en .lui
::ip–
p:r~nmrnta
s'en servir , de peur que dans un premi cr ac–
rtes
clivres.seil
ne se
pone
a
des fureurs,
il
ne les tourne
·contre·
lui.nieme,
et
ne les ·rejete
ensuite
av€c
aunrít
ie
remords
que-
d'effro.i "·
"U
es.t
done abscrlumenf nécessaire q.u'une
déclara–
~ion
de droits,'ne soit point jetée en avant de la const=-
1ttition don·t
elle est
I~
base, afin que les prin cipes de
fa
líberté,
acc~mpa-gnés
· des
loix
qui en dirígenr l'exe-r:–
eke,,
soient
1m
/
bienfait pour le peuple, et
non
pas trn
piége,
et non pas un t0urrncnt. Il
f,m t
agir sur
toutes
i'.eS
facultes
a-1~-(ois,
sur son esprit po ur recl airer , sor
s.espass.ions pour les
contenir'
~ ur
ses
sentimens pa nr
errtemp érer
l'amer.tume 'et les
diriger vcrs
!'esperancen.
'
.Extrai;.
du
c~.i ri~c
de Provence,
N.
:::s,
pag.·
1
tJt
z..