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metne
tñ.
tenclant au meme but' he
pe.rd~s s~nt
beaucoup
de
tems
et beaucoup de leurs forces
a
Se
CDmbattre;
mais ces
jours de dissentions
finissent pour nous; les esprits
meme, en
se
-heurtant,
se
sont pénétrés;
il;
ont
appris
3i.
se
connoitre et
a
s'entendre. Nous touchons
a
la
paix .;
et si
nous mettons
a
notre
place
d'autre~
Députés, ce premier
lmoment
seroit peut-etre
encore pour eux celui
de
la
guerre,._.
Restons
<lonc
a
nos postes; mettons
a
profit
jusqu'a
llOS·
fautes,
et
recueilloils les
fruits de
nofre
experience
H.
,., Mais, dit-5'n, l'approbation unanime
quya.
re.~ne
la
mot'ion
de -
M. ·de
Volney,
n'
est-elle
pas
une preuve
invincible
qu@ chacun de nous ·
a
recon1;m
q"t:te
la
vfritable
siúiation de cette
assemblée
étoit
cet
état
de discordance· ina<:cor...·
Jable
qui
invoque nos suc-cesseurs
?
Non
sans
doute; je ne trouve
darts ·ce _
succes ·que l'effet .
naturel ·
qu'a tout
sentiment
généreux sttr
les
hommes
assemblés.
Tous les députés · de la
natión ont senti a-la-fois que leurs
places
de...
voie~t
étre
aux ,
plus dignes ; tous ont senti _ ,
que
lorsqu'un
des plus estimables d'entre nos
collegues _, provoqucit
sur
lui-rneme le
controle
de l'opinion,
il
étoit naturel
d'anticiper
sur
les
<lécrets de la nation, .
~t
que. nous
aunon~
T ome
II.
,
,
L
I
.