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( 161 )

metne

tñ.

tenclant au meme but' he

pe.rd

~s s~nt

beaucoup

de

tems

et beaucoup de leurs forces

a

Se

CDmbattre;

mais ces

jours de dissentions

finissent pour nous; les esprits

meme, en

se

-heurtant,

se

sont pénétrés;

il;

ont

appris

3i.

se

connoitre et

a

s'entendre. Nous touchons

a

la

paix .;

et si

nous mettons

a

notre

place

d'autre~

Députés, ce premier

lmoment

seroit peut-etre

encore pour eux celui

de

la

guerre,._.

Restons

<lonc

a

nos postes; mettons

a

profit

jusqu'a

llOS·

fautes,

et

recueilloils les

fruits de

nofre

experience

H.

,., Mais, dit-5'n, l'approbation unanime

quya.

re.~ne

la

mot'ion

de -

M. ·de

Volney,

n'

est-elle

pas

une preuve

invincible

qu@ chacun de nous ·

a

recon1;m

q"t:te

la

vfritable

siúiation de cette

assemblée

étoit

cet

état

de discordance· ina<:cor...·

Jable

qui

invoque nos suc-cesseurs

?

Non

sans

doute; je ne trouve

darts ·ce _

succes ·que l'effet .

naturel ·

qu'a tout

sentiment

généreux sttr

les

hommes

assemblés.

Tous les députés · de la

natión ont senti a-la-fois que leurs

places

de...

voie~t

étre

aux ,

plus dignes ; tous ont senti _ ,

que

lorsqu'un

des plus estimables d'entre nos

collegues _, provoqucit

sur

lui-rneme le

controle

de l'opinion,

il

étoit naturel

d'anticiper

sur

les

<lécrets de la nation, .

~t

que. nous

aunon~

T ome

II.

,

,

L

I

.