.
,
Le
ro~
annonc;a ., par
une
l ettre qu'il
· ~11oit'
faire
puhlier ' les arr€tés du 4
aout.
Lect~ire
d'un réqüishoire de la miHce de
Versailles;
qlii,
sur des
nouvelles
plus allar–
mantes ie.5 unes
que. les
a1iúes
'
demande un
se–
'COuts
de
mille
h~mm~s~_de' tro~pes
réglées•
M·.
MlRABEAV.
,4'
Sans
dGttte ,
lorsqu,e des circonstances
urgentes
·exig~nt
du
pouvoir
exécutif des p:ré–
~utiom
extraordinai:res
et desirées, il .est de
~on
devoir ·
d'augmenter la
force
armé e ,
<lans ·
t.elou
tel
lieu ;
il
est aüssi de son
devoir
Be.
c:ommunique-r au
corps législatif
le
motrf
de·
ce
rasse.mblément
·de troupes.
Mais
une mun͕
cip.alit€
quelconque, quelques
soient
ses
motifs;
ne
pe.utappeller
un
coi:ps
d'armée dans
1e
lieu
ou
réside .le corps.législatif,
sans
y
&tre
auto–
risée _par
lui ''·
·
ft1M.
Frét:au
et-.
Fo,ucault
observent
que l'a's-–
semblée , par
un
décn·t ,
avoit
autorisé-
le~
municipa.lités
~
appeller des
troupes-
quand .
elle~
le
.jw~eroient
nécessaire.
·