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.

f

(

156)

interrompf e la discussion , pour annoncer que

bientot on n'existeroit plus; que

le

secor1d

I

(

emprunt

eto1t

manque ; .

que

nous

av10ns.

p erdu

la

confi.ance

µes

étrangers ,

- ~t

tant ..

d'autres choses

terribles' dont

les_

tems

ont

' 1

f

I

p r ouve a verrte.,

. M·ais

la

·patience échappa

a

l'assemblée; on

-

I

L"assemblée a décrété que 1és hommes de·couleur nés ·

de

pere et n;iere libres'

e't

eux-mémes .prnpriétair©-s et

contri,bu;¡¡b]es, auroient le drnit

d'assisrer

aux assemblées

de.s

f;Ítoy~ns.

.

. Ce décret une .fois

rend~,

,_les

co1leg u~s

de

M.

eje

Gouy

o~tr

'résolu

de

ne plus paro·itre

a

l'assemblée' et

cet.te

réso·

ltition

,'qui sembloit n>affiiger

personn~

,'a

p ersom1elle–

me1~t:affligé

M. de Gouy,

c'est, (

dÚ-on) parce qu'e des lors

il

s'est

vu

réduit

a

l'impos~ibilité

Gle

paroitre dans

la

salle

n~tion~le

et

aux .thuileries,

aJme

d'un _

por.te

-f~mlte

énorme,

da

ns

lequel,

disoit-il ·, (

nous dit-on toujours)

étoient ren.f

erm~es

.toutes.. les glorieuseS: .destinées·. de Za

France.

·

Fontenelle disoit

que _s'il · avoit

toutes

les

védt~s

dans

la

main'

il

ne

l'ouv1)roit

pas. 11

n'ouvrit

pas ' la m-ain;.

-'1_1.

de

Gouy,

qui, sans do u

re

aspiroit

a

l'honneur ·d'etre

1e

Fontenelle de son

siecle, n'a

pas ouvert

~son

,porte_ .

fouille; et cependant les

plus

gra.ndes vérités ont

étC;

. -dites,

et

cependant la

cloire

de

la

-Frar:ce est

assui:ée..

(l.