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o.u.

LA DIALECTIQUE.

PropoJitions.

rn

void un exemple, qui foffir-a pour en donner UAe idée:,

&

pour

en

faire

bien fentir ~oute la barbare

inutilité.:

(aliquis.

)lomo· non eft. iex:

done

,-aliquis non rex non.efi

1

non ~10mo).

45.,8.

REMARQUE.

Les regles que donne •

la.

IJialeél:.ique

í'ur ces. trois efpeces de convedion ')~ font -renferm~es

dans

ks denx vers t.ecÍinigues fuivans;

ou

les

lettr.es

majufculei

A

,

E ,

l,

o-,

déGgnent

les propofuians qui .peuy.ent

etre

~onverties en l'une de ces trois manieres.

Nous .

mn1s

bornerons

ici a .ce -qui, co,ncerne

&~la

conver

0

flan .fimp1e

&

la converfion

-l_Ccide-melle,

qui

-feules

peuvent·

err.e de

quelque utitilité..

.

E,.. I fimpliciter conv.ettitur-·:- E

,t-:_,

p~r

accid : .

0

,

per contrapos :.

fü;,

fit

converíio

tota. _

45-9.

REGLE

l.

La..

Converjion-Jlmp!:e pe-ut··avoir

lieu

unjve,..,;.

[ellement,

&

dans

la

propojition

univerfelle .négative.,

&o

daR.~-

la. propoji.tion par-ticulüre

ajfirmative. .

,.

DÉMONSTRA:TION.

La

ra.ifon .e.n,. eft

~-~q~

9

en -clfanr,~.ant dé:·

place, dans ces creux ,efP,eces

d'e-

r.roP.ofoi.ons, l'attribut ne ·

change poinr-·d'étendue, reÍfe

exaéteme.qt

&

précif~1e1u le·.

meme.

Par

confeq1:1ent ,

-

.

1~.

S'i1 ·eft' vrai -~ d'ans

la -

pr

·opojlf.wn-

:-

umverfellé nég.uive

~~

.

que le fo;er n'é

ft ·

pas ,. l'áttrilfat.;. iVféra vrai néceífairement:

que rauribut

n.,

.e.fi

pas

le

frij_et : comme daos ces deux

pro.–

poíitions univet

fel

les négatives, donr l'une eíl:

fimplement .

oonvenie. eutautre.~ (

Aucun lion

n'eíl une.

col.Qffibe..:

done:

aucun€ colombe n'efi un lion ) ..

11º.

S'il efi vrai , dans la

p,apvfi{ionv¡umieuliere·,ajfirmative;

que

e. íujet efi

identifié

avecd'attribu-1: (

4

34) ; ilfera .vrai que–

l ~attribut

efi identifié .

ave-e

le.

fuj;et:

comme :daIJ.s

e.es

deuxc·

propofoions partic:ulieres aflirmatives , dont l'une

eft.

íimple–

ment convertie en

l'a-u-ir-e. (.

Q-uelq_.\Jl~ Fran-qois eíl: bon Ci–

toyen: d.onc quelque bon ,Ciwyen.c;ft

Franc;.oi~).

G:.

Q.

F. Th.

460., REM:ARQ~:E',.

~a

Conve.rfl;'ón

jimple

ne

peut

pas avotr–

Iieu

de

meme univerfellement.,

dans

la p,ropoGtion unive,;:–

felle affirmative,

&

dans . la .propofition· panicutíere

néga–

tive:

parce qu'en chahgeant

de· P.lace.~dans ces

dewc

efpece>·

de

propofr.tions

, _J'attribut ·

cb-ang~

d~é·rendu~ ;,

&

ne

refte–

p.as

e;x-attement

&

pré:ciféin~nr ·le meme°'

Oa

ne. ~ut donc–

pas

conclure

<lu

premier

érat

cte l'attriñut'

ª-

fon

fecorni

état,

qui

n.'efi

plüs

te meroe

Pár exernple ,.

1°.

La ,c.onverfion

fimple

ne

peut pas avoir ííeu dáns

cer;e

prop

ofoion . univerfelle affirmatiive ( tour F_ra0<;ois e(tEtn:Q–

pé.en·

·,

done

ro.ut

Européen

efi

Franc;~is) :

parce

qge

l"ai:.~

ttibu

t ·Europi

en-,

qui .

n'efi 'pas

pris.

univerfellement

dan¡..

~

·

Ir.a

ii~