Table of Contents Table of Contents
Previous Page  71 / 414 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 71 / 414 Next Page
Page Background

61

pw:fcútement explicables par

mols

imple ele auire', il

y

a, entre le

elites

lcwg11es

1111e parenté plus ou moi11

proclwi11e.

J e r ' pete que j

n

roi pa me !romper pwsque

a

mon avi ,

la

grammai.re

élémenlaire d'une

la.ng

ue est la compo iti on de

e

mots. Il est

corta.in

qu'une langue peut

1

pr nclr d'un

autse: mai

alor

il n'y a point de base phonélique po

ibl

entro

lle_.

i

a

cela

0 11

ajout

]'applica lion s tricte de

l'équival encr d s

lettr

, on

tran~forme

le

'l'

m nt

impl es d'un e langue en

eux

d'un

au tr

alors il me

rnbl

que l'on peut regarder lelll' .par nté

cornme indéniable. C'e

ta

e

regles que j 'ai ajusté me

r cherche

ur le lano·ue am ' ri aine . J 'ai procédé ainsi pa rco qu

la m 'thode

hi lorique, qui a donué de

i brillants r ' uHa ts dan

la philologi

indo-em op 'enue, e t inapplicable dan, ce continen

a

ca us du manq u

ab olu tle do ument

an térieltl·

a

la découverte. Mr. de Harl z a

clit

a

ce suj ct: «L'Am '.rique n'a point, omme l'Europe, d ces langue

antique qui forment omrnc de bran h

mere , partant de la ouche,

et permettant de réformrr l'arbre généal oo-ique. Le

icliome

am ' ri–

cain , ont, pom lr savant ce qu

raj nt no

dialectes ntlgaire ,

no

I atoi ,

i 1

~

langue, antériet1res atL'\ siecle mod rne , ava ient

entierement

di,

paru. On ne prut done procéd r ur e terrain comme

on le fait quand on pr ut s1úvre

ur loute lotll" étenduo

les rameau.x

qtÚ }Jl'O\rieunent el'un memo trono.

i

Je

ID

~me

priucipe doivent

etre uivi , ils doivent etre int crprété

srlon le circon tance ,

t

le

exi gencc

n

peuvent pa

etre l s meme . On aura notamm n t

a

ré oudre e tte que tion: Jor que deux peuple,

ont s ' parés par de

tel ob ta le que el

ommwiication

entre eu.'\ , el e

mprunt

de

l'un

a

l'autr ' ne peuvent etre uppo é ;

i

ce

deux pcuples po

e–

dent un fonel commun de racine

antique

et ce rtaines

peuL - on

dénier

a

leurs lano-ue

une affinité orig inale, bien que leur

pro–

cédé

o·rammaticaux different no labl menL ?

La solulion d

celt.e

que tion

era de la plu haute impo rtance.

»

379

Quant au fond, j

uis d'ac orel avec l'auteur· mais j e donne

une ba e plu

larg

au probleme.

Outre le

équiva len e

pbo–

nétique , qui peuvent

con idérer

omm

loi

do Grimm

et qui

sont ·]e point ele départ incli pen abl

pom pouvoir trouver en bon

nombre le

racines communes,

(< antiquc

et certa ine

>>

don t parlo

Harl z; j e croi que doivent fo rrn er au

i partio de ce fond

commun

le partí ule de

langue

amen ca in ·.

On

ait qu'on appello ain i

les terme qw i olé manquent de tout sens dan s la langue, et qui

870

De quelques pr111ci11es de lú1guistiq11e

en

Congres des

a111ériccmistes de

Brnxelles

t.

II,

p.

552.