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pw:fcútement explicables par
mols
imple ele auire', il
y
a, entre le
elites
lcwg11es
1111e parenté plus ou moi11
proclwi11e.
J e r ' pete que j
n
roi pa me !romper pwsque
a
mon avi ,
la
grammai.reélémenlaire d'une
la.ngue est la compo iti on de
e
mots. Il est
corta.inqu'une langue peut
1
pr nclr d'un
autse: mai
alor
il n'y a point de base phonélique po
ibl
entro
lle_.
i
a
cela
0 11
ajout
]'applica lion s tricte de
l'équival encr d s
lettr
, on
tran~forme
le
'l'
m nt
impl es d'un e langue en
eux
d'un
au tr
alors il me
rnbl
que l'on peut regarder lelll' .par nté
cornme indéniable. C'e
ta
e
regles que j 'ai ajusté me
r cherche
ur le lano·ue am ' ri aine . J 'ai procédé ainsi pa rco qu
la m 'thode
hi lorique, qui a donué de
i brillants r ' uHa ts dan
la philologi
indo-em op 'enue, e t inapplicable dan, ce continen
a
ca us du manq u
ab olu tle do ument
an térieltl·
a
la découverte. Mr. de Harl z a
clit
a
ce suj ct: «L'Am '.rique n'a point, omme l'Europe, d ces langue
antique qui forment omrnc de bran h
mere , partant de la ouche,
et permettant de réformrr l'arbre généal oo-ique. Le
icliome
am ' ri–
cain , ont, pom lr savant ce qu
raj nt no
dialectes ntlgaire ,
no
I atoi ,
i 1
~
langue, antériet1res atL'\ siecle mod rne , ava ient
entierement
di,
paru. On ne prut done procéd r ur e terrain comme
on le fait quand on pr ut s1úvre
ur loute lotll" étenduo
les rameau.x
qtÚ }Jl'O\rieunent el'un memo trono.
i
Je
ID
~me
priucipe doivent
etre uivi , ils doivent etre int crprété
srlon le circon tance ,
t
le
exi gencc
n
peuvent pa
etre l s meme . On aura notamm n t
a
ré oudre e tte que tion: Jor que deux peuple,
ont s ' parés par de
tel ob ta le que el
ommwiication
entre eu.'\ , el e
mprunt
de
l'un
a
l'autr ' ne peuvent etre uppo é ;
i
ce
deux pcuples po
e–
dent un fonel commun de racine
antique
et ce rtaines
peuL - on
dénier
a
leurs lano-ue
une affinité orig inale, bien que leur
pro–
cédé
o·rammaticaux different no labl menL ?
La solulion d
celt.e
que tion
era de la plu haute impo rtance.
»
379
Quant au fond, j
uis d'ac orel avec l'auteur· mais j e donne
une ba e plu
larg
au probleme.
Outre le
équiva len e
pbo–
nétique , qui peuvent
con idérer
omm
loi
do Grimm
et qui
sont ·]e point ele départ incli pen abl
pom pouvoir trouver en bon
nombre le
racines communes,
(< antiquc
et certa ine
>>
don t parlo
Harl z; j e croi que doivent fo rrn er au
i partio de ce fond
commun
le partí ule de
langue
amen ca in ·.
On
ait qu'on appello ain i
les terme qw i olé manquent de tout sens dan s la langue, et qui
870
De quelques pr111ci11es de lú1guistiq11e
en
Congres des
a111ériccmistes de
Brnxelles
t.
II,
p.
552.