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QVAEDAM EX CONSTITVTIONIBVS
Thomistre in blattarum alimentum labo–
rantis in PicamMetamorphosis.-En 4.
0
,
de 2 hs. n. fs.
EL P.
GASPAR DE SOLA.
«Auth. P. Gaspar de Sola, Maestro de
Phica», se dice en el ejemplar de la biblio–
teca del Colegio de Málaga, inserto en la
colección descrita al núm. 266.
1727.-I. Qvaedam ex Constitvtioni–
bvs cum Regulis communibus Societatis
Iesv Excerpta. Viennre Austrire in JEdi–
bus Collegij Cresarei Societatis Iesv. Anno
M. D. LXI.-En
16.
0
,
de 22 hs. n. fs.
II. Qvaedam ex Constitvtionibvs So–
cietatis Iesv
~xcerpta.
Romre iti Collegio
Societatis Iesv. Anno M. D. LXVII. –
En 8.
0
,
de 47 hs. n. fs. (menos 4 que lo
están).
Los
):'P.
DIEGO LAYNEZ,
FRANCISCO DE BORJA y JERÓNIMO NADAL
(?).
Por si pueden contribuir á deshacer la
nie'bla que encubre
á
los redactores de estos
primeros ensayos de las
Reglas
de la Com·
paiiía, creemos oportuno copiar aquí, como
introduccción, unos párrafos del P. Juan
M. Prat, que es el que más de propósito
habla de ellos en sus
Mi!mox·res pou1· servir
a
l'
Hist. du P. Broet.
<<Ce fut surtout par la collaboration (dice)
duP. Jérome Nada! que S. Ign'!ce, avant
la publication de ses Constitutions, main–
tint parmi ses enfants cette uniformité de
direction qui en lit la force et la stabilité..
Partout ou Nadal allait exercer les pleins
pouvoirs qu'il avait rer;us,
il
dressait des
reglements, qui,approuvés par le Saint Fon·
dateur et acceptés avec reconnaissance par
les Supérieurs enseignaient
á
tous
a
entrer
dans !'esprit des Constitutions, avant meme
qu'elles fussent publiées.- Ces Regles de
conduite furent le fond principal d'ou la
Compagnie tira, quelque temps apres, ces
R egles couummes
et les Regles des Oflices
particuliers, qui devinrent en quelque sorte
les accompagnements necéssaires du som·
maire des Constitutions, et le
Manuel
obligé
d'un religieux de la Compagnie.
«Le P. Laynez, nommé Général apres
S. Ignace, s'occupa le premier d'une' publi–
cation qui réunirait dans un meme volume
un
~esumé
substantiel des Constitutions et
un choix des reglements qu'avaient dressés
en divers endroits les envoyés du saint Fon–
dateur,
sur~out
le P. ]érome Nada!. Commc
les missions importantes que lui con!ia le
Saint-Siege et les affaires de la Compag.nie
l'obligerent de laisser cette entreprise in–
complete, la seconde Congrégation générale
qécida que le Sommaire des Constitutions,
qui commence par ces mots
Quamvis Sttm·
ma Sapien#a
serait intégralement conservé;
mais qu'on pourrait réduire les Regles
communes, dont plusieurs avaient été ins–
pirées par des circonstances qui n'existaient
plus, ou pour des causes locales, égalemenl
disparues.
«S.
Fran~ois
de Borgia, nommé succes–
seur du P. Laynez, par cette seconde Con–
grégation, se lit un devoir d'exécuter sa
décision ; et des le
2
j
uillet de l'an
1
567,
a
l'occasion de la rénovation des vceux, il
publia, en présence de presque tous ses con–
freres de Rome, réunis au Collége Romain
pour la solennité du jour une nouvelle édi–
tion du Sommaire des Constitutions, des
Regles communes et de celles des offices
particuliers, réduites aux proportions de–
mandées par la seconde Congrégation. Le
serviteur de Dieu prit aussi des mesures
pour que cette édition, tout en respectan! le
Sommaire,
rempla~at
les reglements quedes
circonstances de temps et de lieux avaient
obligé le P. Nada! de prendre, dans les di–
verses contrées,
c.u
il avait eu cette mission
a
remplir. Ces précautions, necessaires dans
le premier temps, avaient affermi l'édilice
de la Compagnie; on pouvait done le .dé–
barrasser des apl?uis dont il ayait fallu d'a–
bord l'environner.
«Mais cette opération elle-meme deman·
dait, dans son ensemble, une revision exac–
te; dans ses parties, un choix qui ne souffrit
rien d'inutile; dans les formules, une pré–
<:ision qui menage11t également la clarté
des termes et la fécondité du sens. Le