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MOLL SQUES .
dores, etc., se servent peut-etre , pour le meme usage ,
de leurs nageoires et surtout du lobe intermédiaire
qui est disposé, clans la plupart de ces Mollusques, de
maniere
a
pouvoir s'appliquer conlre leur Louche .
Les circonstances relatives
a
la reproduction de
Ptéropodes sont encare fort peu connue . D'apre la
disposition de leur appareil
générat~nr ,
on doit croire
que ces l\follusques s'accouplent; mais nous ne sa–
vons comment se fait cet accouplement, ni so us quell
forme est rendu le procluit de la génération, ni de
quelle maniere a lieu son d'
loppernent ultérieur.
Le recherches que nous avons faites dan le but d'é–
claircir ces différents poin ts n'ont pas
' té sui ies de
résultats plns salisfai ant que
lle qui a aient été
tentées avant le nótre ; il cst meme
a
craindre que
l'bistoire des Ptéropode ne soit longtemps encare,
sou
e rapport, enveloppée de beaucoup
el'
oh curit ',
a
cause d s grandes difficultés que pr'sente une em–
blable éLu de. Cependant, les obser ations que nou
avons recueilli
ur les coquille micro copiques p ' -
lagien nes qui e rnontrent
a
la urfa e de la mer, dan
les memes circon tan es que le Pt 'ropod
, nou
porten t
a
pen er que ces Mollu ques
ubis ent, dan
leur premier
a
e' de métamorpho es semblable
a
celles qui onl déja ' té
ignalée dans plu
i
ur autre
l\'lollu ques.
ou
re iendron
ur
e sujet lorsqu
nou nou occuperon des oquille micro copique .
Les Pt ' ropode
ont répandu dan
toutes le mer
et ous toute le latitude · on trou
en effe t de ce
Mollusques depui le r 'gion placée sou
l'
' quateur,