PTÉ.ROPODES.
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et a ec ceux de la vie nutr itive : ces dern iers, au nom–
bre d quatre, son t uni s entre eux et avec les pr écé–
denl par des commissures intermédiaires; comme
a
l'ordinaire, ils sont pl acés en dessus de l' resophage .
. Les ganglions qui en trent dans la cornposi tion du
colJier resophagien et les ganglions b uccaux ·sont les .
euls qu i existen t chez les Ptéropodes; les ner fs qui
e rendent aux organes de la locornotion n'offrent
jamais de renflements ganglionnaires sur leur trajet,
L
nou avons a ussi inu tilemen t cherché, sur les nerfs
i
éra ux, les ganglions qui s'y rencon trent encor e
<lans un certain nombre de Gastéropodes .
llJ.
HJSTOIRE
A'f RELLE DES PTÉROPODES.
Les Pt 'ropodes ont des Mollusques essentiellement
p ' lagiens, qui habitent ordinairemen l les hautes mers
et ne se rnontrent qu'accidentellement pr 's des ri–
ag
; il nou parait I eu probable en effet que cer–
laine e pe e vi enl habitu 11 m nt dans le parages
des c6 tes, comrne 1ont avancé quelques zoologistes,
t
l'on doit plut6t admettre que le Ptéropode qui s' y
rencontrent quelquefois ont été entrainés par le cou–
rants ou pou sé par les tempete .
Le
irconstances parliculiere du séjour des Ptéro–
podes ont encore peu connues; tous les naturaliste
qui- se ont
Ji
r ' s
a
la re herche de ces follu que
a ent que, dan
certain points, l'on ne rencontre
c1ue de
indi idu
i ol ' ou n petit nombre, tandis
que dans d 'autr s, il
forment quelquefois des bancs
onsid 'rabies. Certaines circon ta ces
fa
arables
a