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DE LA BO ITE .
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qu 'il leur a ait recommandé les deux ouvriers re tés a
Honolulu apres l' expulsion des missionnaires. 11 ne
pouvait partir sans obtenir quelque chose de plus
for~
mel, non-seulement en leur
fa
eur, mais aussi en faveur
de tou
les Fran9ais qui ·pourraient venir, par la suite,
s' établir daos le pays.
D' un autre coté, M. Walsh, le missionnaire irlandais
dont il a ait déja re9u la
isite a son arrivée, était de
nouveau venu réclamer sa protection aupres du roi, et
M. Vaillant désirait vivemeut pouvoir faire aussi quelque
chose p ur lui .
Telle éLaien t les pen ées qui le préoccupaient, quand
il descendiL
a
terre, le 23 dans la matinée, pour aller
voir le roi.
e
lui-ci était déja instruit du prochain départ de
la
Bonite.
Le commandant le trouva fort ému.
Ce bon
j
une homme s'était sincerement attaché a ses
nouveaux amis; les conseils de M. Vaillant lui avaient
' t ' agréables; il puisait clans ses entretiens des idées que
nul autre n
luí aurait données; il elit aimé a se laisser
conduire par cet étranger, qu 'aucun intér et personnel ne
parai ait influen er et qui, tout en lui imposant par sa
t
nue et a upériorité, l'attirait par a bienveillance.
'' tait pour luí un attachement en quelque sorle respec–
tueu .
D'un autre
· té la gaieté francbe et toute fran 9ai e des
ffi
i
r d
la Bonite
a ait compJétement éduit Kani-
kra uli. ll reo-ar<lai t
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mme de bon
ami
d