![Show Menu](styles/mobile-menu.png)
![Page Background](./../common/page-substrates/page0319.jpg)
DE LA RO
ITE .
300
avait exclu les aulres, le commandant aurait désiré que
Kinau surtout fút de la partie. le diner se passa de la
maniere la plus convenable, mais il ne présenta aucun
incident digne d'etre rapporté . Le déjeuner que les offi–
ciers donnerent le lendemain
a
Kanikéaouli ne fut re–
marquable non plus que par la franche gaieté et la cordiale
bonhomie qui
y
présida. M. Vaillant
n'y
assistait pas.
Derniers jours ele la rel:it·he.
Les derniers jours de la relache furent remplis par ces
mille soios qui ne laissent point
a
un capitaine le temps
de respirer.
Le commandant, toujours en course d 'une maison
:'1
I'autre, n 'en était pas moins occupé de recueillir et de
noter une foule de renseignements précieux qu'il aurait
vainement cherchés ailleurs, sur les iles Sandwich, sur
le commerce qui s'y fait, le nombre des navires qui les
fréquentent, les influences qui
y
dominent, les ressources
qu 'elles offrent aux navigateurs étrangers et générale–
ment sur taus les pointsqui doivent fixer l'attention d'un
officier de marine pénétré des devoirs de sa position .
U avait trouvé aupres des négociants résidents l'em–
pressement le plus obligeant
a
l'
éclairer sur ce qu'il dé–
sirait connaitre. Je devrais les citer taus, si je ne voulais
omettre aucun de ceu
dont
i]
eut
a
se louer ; mais ce
ful
principalemenl
a
M. Charton , consul d 'Angleterre ;,
Honolulu , que M. Vailbnt
fut
snrtout redevabl e d ' un e