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fut de me d ébarra ser du harponneur. Ce mauvais gar–
nement m'a ait porté malheur. ,,
Le fait d ' une embarcation brisée par deux baleines
n'a ríen en soi de bien incroyahle; et, saufles détails
dont il plut au capitaine anglai d'embellir son histoire,
s s auditeurs purent saos se commettre y ajouter
foi. •
Mais en voici un autre qui paraitra plus fort; libre
a
cha un d'en croire ce qu'il vondra.
«
C' 'tait au cap de Bonne-Espérance que la chose se
passa. ( Le vieu
baleinier ne <lit pas quand; il avait
mem
oubli ' le nom du na ire ; mais il étai t súr de
l'
exa titude de tous les d étails, pour les avoir entendu
ra onl
r
par un de ses camarades qui avait serví précé–
demment sur un batiment ou se trouvait un vieu ' loup
de m r dont il tenait c lte bistoire et bien d 'autres en-
ore. )
cc
Done, en je ne sai plu quelle année, un beau navire,
hi
n
e-palm' fai ait traoquillement la peche sur le banc
d
iguilles.
'' tait dan
la bonne
ai on et il faisait
b au temps; s ulemen t lamer un peu houleu e, par suit
d ' un ras de mar
I
e qui régnait probablement
a
la 6te,
r ndait
a
z
diffi
il
la man
.u re
de
mbarcation .
ce
rri e une balein
' norme.
ce
lL
bal inier
ro
poi on filait
pou oir la joinclr
meltent
a
s
trous e ' mais l
ite;
o
fut
plu
d
troi heure · sans
n
l'a ait manqu 'e d 'ja plu
i
urs
foi ·
l
r
qui>
nfin
un
J
s autre,
lui n oi
harponn
w· ,
plu adr it qu
a
lan
t l'atteint.
Bonit~.
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Torne ll.