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O AG
Le 19 o tobre, deu · baleiniers jet ' r nt l'an r
ur la
tade: l'un
' tait américain' l'autr
appartenait
a
la
Grande-Bretagne.
Plusieur
offi ier de
l'
e ·pédition
tr u
' rent
soir du meme jour, h z le con ul anglai a
c le api–
taine de elui- i.
Jl
'tait partí d
la ouvell -Z ' lande de–
pui sept moi
ntier ; il avait
roi
• t " du
Japon et il arrivait aux
andwich
an
a
ir r lá h '
null.e part. Deux cent tr nte haril d 'huil
taient le
fruit de sa campagn .
On eut par lui qu lque nouvelle de bal iniers fran–
c;:ais en cour ,de péch dan
les para e d 'ou il v nait.
11 en a ait rencontr ' de
ingt- inq
a
tr nte et il dit a oír
aus
i
aper , u un bátiment de guerre frao c;:ai d nt il ne
onnais ait ni le nom ni la for e. omme on lui d manda
si le na ires fran ,ai faisaient bono p • he, il r pondit
que le eul a ec qui il eut commuoiqu ' a ait
d.
'ja
huit
ent barils;
ce
mai , ajouta-t-il a
c un sourir
l 'ger -
ment dédai gneux,
' ' tait de l'huile naire; la baleine qui
la fournit e t ai 'e
a
prendre et n '
t point stim '
n
baleioier anglai
QU
aro
I
ricain pa e
a
ólé san
her-
her
a
l'a oir ; l
Fran , ai
ont m in difficile.
n
Le capitaine anofai se montrait
aotard : il d vait
étre conteur.
jeun s gen
oulurent ' n amu
r
t,
affectant un e implicité qu leur
ounr
narquo1 man–
qu erenl parfoi d d 'mentir, il
lui firent mili
1u
Li on
ur la pé he d
la balein
t
ur l
a en tur
xtraor-
dinaires dont
il
avait an doute
' té plu d' un
foi
té-